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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Waterworld):
"L'aspect spectaculaire du film est assez bien travaillé. (...) Ça mitraille, ça pétarade et ça explose à tout va." Scifi-Universe "Waterworld se place à la croisée de plusieurs films (...). Film de pirates, western et univers post-apocalyptique se rejoignent sur un vague discours écologique." Devil Dead "Waterworld, alias "le film le plus cher du monde", n'est qu'un décalque aquatique des deux derniers épisodes de Mad Max [2 et 3]. (...) Waterworld aurait pu être un petit film d'aventures, inventif et déglingué. Ecrasé sous le poids d'un budget trop colossal pour un argument si mince, il est devenu un produit industriel boursouflé où l'usage intensif de la pyrotechnie (explosions orange sur la mer bleue ! ) n'arrive pas à masquer longtemps l'inanité du projet." Les Inrocks "Waterworld est construit sur un scénario qui est un copié-collé de celui de Mad Max 2 (l'eau remplaçant la poussière) et qui était sensé attirer le même type d'audience. Le fait d'aseptiser la teneur dramatique de l'original a complètement décontenancé les spectateurs qui ne retrouvaient plus la « gniak » et même la méchanceté du film de George Miller." Scifi-Universe "On en vient à se demander si Waterworld, au final, n'est pas un sympathique film pour enfants. C'est possible à l'attitude assez amusée de mon fils de 11 ans qui l'a vu pour la première fois hier soir en DVD. (...) Le rôle important donné à la petite chipie contribue également à séduire le public le plus jeune. Ainsi que de nombreuses détails scénaristiques stupides (...), un aspect quasi cartoonesque, susceptible de faire grincer des dents le spectateur adulte, mais qui risque fort de faire rire ou sursauter les enfants." Scifi-Universe "Avant même de mettre le pied dans les salles de cinéma, Waterworld se traîne déjà une vilaine réputation de canard boiteux ayant coûté une fortune. Cette promotion ne va pas le servir, bien au contraire. Pourtant malgré les croyances, Waterworld n'a pas vraiment bu la tasse. Si les récoltes monétaires sur le sol américain n'ont pas suffit à renflouer les caisses, l'exploitation internationale a permis de couvrir largement les dépenses. Le record du budget faramineux, Waterworld ne le conservera pas très longtemps. En matière de budget exponentiel le Titanic de James Cameron viendra bien vite le supplanter." Devil Dead "La presse file la métaphore sur « le naufrage du film le plus cher de l'histoire du cinéma ». Mais comme en Amérique Dieu reconnaît les siens, les héros de cette nouvelle épopée hollywoodienne seront finalement récompensés sur terre de leurs efforts sur mer. On leur prédisait le déluge, il aura lieu : des flots de dollars. Pourquoi je vous raconte tout ça ? Waterworld n'est pas tant un film que l'épopée de son tournage, gage de la réussite du film : venez, bonnes gens, admirez nos exploits et prouesses ! Alors, on jauge l'atoll (comment ça flotte ? ), on s'extasie au spectacle des cascadeurs kamikazes qui le prennent d'assaut (comment font-ils ? ), on cherche à détecter d'éventuels effets spéciaux (la mer, elle est vraie, la mer ? ). Et tant que ça bouge, on jubile. Le problème, c'est que, tout occupés sur leurs rafiots à épater le chaland, nos joyeux loups de mer ont oublié de rafistoler leur scénario, très vite empanné." Telerama - Vincent Remy "Le défi paraît anecdotique, d'autres films ont été tournés en partie sur l'eau auparavant, mais la majeure partie du récit de Waterworld met en scène des centaines de personnages ainsi que des dizaines de véhicules maritimes. Pour se faire, il faut réellement apporter une gigantesque infrastructure de production au milieu de l'océan sans oublier de construire les décors sur lesquels vont évoluer les personnages." Devil Dead "Avant de partir à l'aventure, il aura fallu 18 mois de préparation minutieuse. Et pourtant, même en ayant tout calculé, le tournage au large des côtes de Hawaii va rapidement se transformer en cauchemar. Le travail sur l'eau va ainsi se dérouler durant presque six mois. La mise en place de nombreux plans prennent des heures à être régler sans oublier que le mouvement de la mer a une incidence directe sur les prises de vues. Une fois qu'un bateau est passé, si vous voulez refaire la prise, il faut qu'il retourne à son point de départ en espérant que le vent, les nuages et le soleil n'aient pas décidé de changer. Relativement concevable pour un simple navire à voile, le problème prend des dimensions exagérées avec les gigantesques décors flottants du film. Ainsi, un énorme atoll grandeur nature est construit pour l'occasion. Décor hors norme, il s'avère extrêmement difficile de le mouvoir de façon à rester correctement exposé au soleil en fonction des scènes (une rotation du décor devait s'opérer en plusieurs heures). Evidemment, en fin de tournage, l'un des décors va sombrer en raison des intempéries. Le tournage infernal va ainsi accumuler des pertes d'argent qui font monter démesurément le budget du film. Les problèmes de Waterworld ne s'arrêteront pas là avec des soucis d'ego entre la star du film, Kevin Costner, et le réalisateur Kevin Reynolds. Les rumeurs vont bon train, l'acteur aurait ainsi assuré une partie de la réalisation ou bien aurait fait refaire à grand frais des retouches numériques pour que son petit corps soit au meilleur de sa forme une fois sur l'écran." Devil Dead "Ce film a aussi marqué aussi la fin de l'amitié entre les deux Kevin, l'un ayant servi de bouclier à l'autre sous la pluie de quolibets des critiques. Hors, 12 ans plus tard, que reste-t-il de tout ça ? Un petit film d'aventure, pas déplaisant, guère trépidant, un peu amusant, mais guère honteux. Finalement, dans le domaine du cinéma comme ailleurs, le temps finit par lisser même les vagues des mers les plus houleuses. Un petit film surimi, pas dégueu avec beaucoup de mayonnaise..." Scifi-Universe |
Synopsis usuel:
Vers l'an 2500, la Terre n'est plus qu'une immense étendue d'eau. Les hommes sont obligés de se regrouper sur des atolls artificiels. Seuls les plus optimistes espèrent un jour rejoindre une terre ferme, le mythique Dryland. Sur un atoll perdu, Helen, et sa fille, Enola, attendent la délivrance. Les visions prophétiques d'Enola, ainsi qu'une carte tatouée sur son dos leur paraissent autant d'indices de l'existence de Dryland. Mais une bande de pilleurs, sous la tutelle du cruel Deacon, empêche tout voyage. |
Sortie ciné : 25 octobre 1995 Box office France: 2 210 744 entrées cinéma |
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