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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd We Are Still Here):
"Le cinéaste Ted Geoghegan a un penchant pour le réalisateur Lucio Fulci, mais n'allez pas croire que son film est simplement un hommage au maître du cinéma gore Italien. We Are Still Here utilise une logique narrative et un scénario similaire au style de Fulci, mais l'approche visuelle s'inscrit dans le courant du cinéma d'horreur indie Américain contemporain. Geoghegan sort de la même école qu'un Ti West ou un Adam Wingard. Son film est lent et atmosphérique et requiert un certain degré de patience avant d'y adhérer complètement." Horreur Web "We Are Still Here est un petit récit horrifique rétro qui fait d'évidents clins d'oeil au cinéma de Lucio Fulci et à son goût pour les damnations les plus glauques, cachées dans le sous-sol." Film de Culte "Quasiment dénué de musique, plongé dans une atmosphère hivernale très calme, We Are Still Here installe un climat à la fois cotonneux et tendu, où le froid semble d'abord engourdir pour mieux saisir. (...) We Are Still Here raconte une histoire de deuil avec une grande efficacité narrative (...)." Film de Culte "On nous avait dit, attention messieurs pour sa première réalisation, le producteur Ted Geoghegan a joué la carte du “Old School”. On ne nous avait pas menti, dès ses premiers tours de bobine, We Are Still Here affiche un classicisme à toute épreuve. Un scope qui balaie une Amérique à glacer le sang, une vieille bicoque sous la neige, des givrés plein le voisinage (...)." Ecran Bis "La première réussite du film est sans doute son travail des ambiances, assez remarquable. L'action se situant en 79, il valait mieux ne pas trop se louper. Et tout y est : des costumes seventies aux décors rustiques en passant par les accessoires vintage (...). On peut s'inquiéter dans la première partie du film d'une mise en scène discrètement maniérée, mais au final celle-ci dénote avec la production habituelle et fait office de petite respiration à l'heure ou le cinéma semble se complaire dans des enchaînements de séquences épileptiques. Ici, le rythme lent combiné à une musique d'ambiance quasi permanente distille une atmosphère mystérieuse, en suspension, dans l'attente d'un danger latent et imminent." Terreur Vision "Bon mais voila... Il y a une deuxième partie (les 20 dernières minutes...). On a droit à un déchainement de scènes plus horribles et pénibles, les unes que les autres. Violence, horreur, c'est un florilège de scènes efficaces, d'effets spéciaux cruellement réalistes, rendant le film particulièrement jouissif. Dès lors, l'histoire prend un nouveau tournant, qui, s'il n'est pas vraiment crédible, réveille l'intérêt du spectateur. Ah, si le réalisateur avait eu la même force tout au long de son film..." CinéCroc |
Synopsis usuel:
Après la mort de leur fils dans un accident de voiture, Paul et Anne décident de déménager dans la lointaine banlieue de la Nouvelle-Angleterre pour prendre un nouveau départ. Mais le couple en deuil devient sans le savoir la proie d’une famille d’esprits vengeurs qui réside dans leur nouvelle maison. Très vite, ils découvrent que le problème ne s’arrête en réalité pas à leur maison et que la ville apparemment paisible dans laquelle ils ont emménagé cache un terrible secret. Ils doivent alors trouver un moyen de surmonter leur douleur et de lutter contre les vivants et les morts, alors que les fantômes de leur maison ne pensent qu’à emmener leurs âmes, et l’âme de leur fils perdu, en enfer avec eux. |
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