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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd Sur quel pied danser):
"Ce qui m'a plu dans ce film, c'est sa simplicité : pas d'effets de voix insupportables, pas de chorés compliquées, juste des acteurs et actrices qui passent du bon temps, qui chantent et qui dansent. Les paroles des chansons sont particulièrement bien écrites." Mad Moi Zelle "Il faut un sacré culot pour réaliser une comédie musicale dès son premier film. A fortiori en racontant un conflit social dans une petite entreprise de chaussures de luxe. (...) Sur quel Pied danser a un charme fou grâce à des chansons accrocheuses aux styles variés, écrites ou composées par Jeanne Cherhal, Clarika, Albin de la Simone, Olivia Ruiz, mais interprétées, avec une aisance étonnante, par les acteurs eux-mêmes." Telerama "L'origine de Sur quel Pied danser remonte à une première collaboration entre les réalisateurs Paul Calori et Kostia Testut sur le court métrage "Le Silence des machines", à propos d'une usine délocalisée. Développé en long métrage, le résultat, sur un sujet de société grave et d'actualité, donne un film pétillant, dans la ligne de Jacques Demy, sans s'y réduire pour autant." Culture Box "Cette comédie, qui nous en apprend beaucoup sur la fabrication d'une chaussure féminine, ne manque ni de charme ni de vérité. Loïc Corbery, de la Comédie-Française, s'y distingue dans le rôle du jeune PDG manipulateur. L'histoire d'amour n'était pas nécessaire, mais l'ensemble nous chante." Le Parisien "Le film a l'indéniable mérite d'oser la comédie musicale sur un sujet aussi peu romantique et glamour qu'un conflit social dans une fabrique de chaussures..." Le Monde "Si les chansons permettent de faire avancer l'intrigue ou d'exprimer ce que ne diraient pas « tout haut » les ouvrières, les rapports entre patrons et employées sont par moment un peu trop schématiques. On a par exemple du mal à croire à l'animosité soudaine entre le personnage de François Morel (le directeur de l'usine) et « la nouvelle » qu'il tient à l'oeil et considère comme responsable de beaucoup." Abus de Ciné "Ne nous attardons pas sur les mouvements soit-disant chorégraphiés qui attendrissent plus qu'ils n'attisent l'admiration et le lyrisme. (...) les acteurs [sont] mal dirigés (...). François Morel se dégage péniblement, mais le problème ne vient pas tant de l'écriture manichéenne et stéréotypée, mais de l'absence de rythme dans ce continuum foutraque où la chanson est prétexte à la comédie dans un film social sur la dominance capitaliste au détriment des salariés vus comme du bétail interchangeable. L'histoire d'amour adolescente est plus que mal amenée et encore moins tenue pour que l'on daigne y attacher la moindre importance. La résolution, si tant est qu'il y ait des « péripéties », s'avère plus élémentaire et arrangeante qu'un conte de fée pour un enfant de 3 ans et finit en queue de poisson frustrant le spectateur qui semble être passé à côté de quelque chose." Ciné Séries Mag |
Synopsis usuel:
Alors que Julie pense décrocher un CDI dans une fabrique d’escarpins de luxe, un plan social vient de chambouler ses rêves de stabilité : entre lutter à côté d’ouvrières frondeuses ou bien faire profil bas, Julie ne sait pas sur quel pied danser. Mais quand Samy, un camionneur aussi roublard que charmeur, vient prêter main forte au combat, ce n’est déjà plus la même chanson… |
Sortie ciné : 6 juillet 2016 |
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