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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd Rodéo):
"Rodéo est une immersion dans le quotidien d'un groupe de vachers qui parcourt les routes pour vivre. Inattendu et contrasté, parfois perturbant, ce long-métrage tente de dire le Brésil d'aujourd'hui, notamment à travers une esthétisation des corps." Culture Box "Les héros de ce film forment une communauté vivant en symbiose avec les animaux : humains et taureaux circulent ensemble dans une remorque. Avec la même sensualité, le réalisateur filme leurs corps, ceux des bovins et des chevaux, jusqu'à une espèce de fusion, stupéfiante mutation en centaures. Le quotidien le plus trivial prend, soudain, l'allure d'un mythe." Telerama - Nicolas Didier "Chaque scène, chaque geste est ici lesté d'une perceptible sensualité à la fois lumineuse et sale, parce que la promiscuité des hommes et des animaux établit un continuum d'espèce et de désir, articulant ensemble les mains, la peau, le cuir, les sabots, l'attente, la faim et la jouissance." Liberation "Rodéo, film à la dimension sexuelle affirmée, est un nouveau signe de la vitalité du cinéma brésilien." Les Inrocks "L'intérêt (relatif) du film tient moins du contraste entre l'univers viril des cowboys brésiliens et l'aspiration du héros à devenir styliste de mode (choc des cultures garanti) qu'à la description quasi-documentaire d'un aspect dépaysant et inédit du quotidien brésilien (les rodéos), portée par une photographie travaillée pleine de sensualité et d'esthétisme" Abus de Ciné - Nicolas Le Grand "Le film n'est pas qu'un enregistrement documentaire : Gabriel Mascaro raconte aussi une histoire sociale, celle de ses hommes traités comme du bétail, qui changent de « propriétaire » sur un claquement de doigt. Il inverse aussi les rôles : l'étalon rêve de devenir styliste quand sa promise, elle, est vigile d'une usine de textile." Paris Match "Malheureusement, si la possibilité de pouvoir découvrir une facette à la fois méconnue et étonnante de la vie au Brésil constitue incontestablement l'intérêt majeur du film, on peine en revanche à s'intéresser aux tribulations existentielles du héros dans le monde de la mode et aux poses affectées du cinéaste autour de la question de l'identité sexuelle (...)." Abus de Ciné - Nicolas Le Grand "La maladresse culmine dans une scène interminable et pénible de coït entre le héros et une femme enceinte jusqu'au cou (car ici, on tombe enceinte avant de faire l'amour)." Abus de Ciné - Nicolas Le Grand |
Synopsis usuel:
Iremar et sa famille de substitution vivent sur les routes, travaillant dans le milieu des vaquejadas, rodéos traditionnels du Nord du Brésil pour lesquels ils préparent les taureaux. Rêvant de devenir styliste, Iremar accumule étoffes et paillettes, coupant et assemblant ses créations et les derniers modèles à la mode… |
Sortie ciné : 7 septembre 2016 |
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