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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd Je danserai si je veux):
"Je danserai si je veux est le portrait exalté et impoli d'une bande de potes arabes-israéliennes qui s'échappent des traditions." Les Inrocks "Je danserai si je veux s'attaque aux tabous de la société arabe israélienne. (...) D'un côté il y a Nour, voilée et conservatrice (...). De l'autre, Leïla et Salma, deux jeunes Arabes israéliennes qui font les 400 coups dans l'anonymat de Tel Aviv. Dans le film Je danserai si je veux, la réalisatrice Maysaloun Hamoud raconte ce choc des cultures en Israël et le chemin de l'une vers les autres. Mais il lui a valu des menaces de mort." Culture Box "La réalisatrice a fait tatouer sur son bras droit le titre original de son film « Bar Bahar » (« Entre-deux »), symbole de son écartèlement. « Je vis un dilemme : j'adore mon pays mais je détonne, j'étouffe, je m'y sens à l'étroit », dit-elle. (...) « Tant que le système en place sera patriarcal, ce seront toujours les mêmes qui en profiteront et il ne pourra y avoir de changement profond. C'est aux femmes de faire la révolution. »" Paris Match "Excellemment interprété et doté de prime abord d'un point de vue très intéressant sur les relations israélo-palestiniennes, Je danserai si je veux finit par souffrir d'un scénario trop mécanique." Ecran Large "Pour saisir la vérité de ces vies, le regard de la réalisatrice est parfois un peu rapide. Mais, avec l'appui de ses comédiennes, la réalisatrice réussit trois portraits vifs et évocateurs." Telerama "La cinéaste construit progressivement une forme de complicité/solidarité entre les trois, qui se passe parfois de mots au profit d'une grande subtilité (la scène de la douche en est une délicate illustration). En revanche, cette volonté de ne pas tout verbaliser et de distiller des indices peut avoir un effet perturbant sur la compréhension du film (quoique cela n'empêche pas de cerner l'essentiel)." Abus de Ciné - Raphaël Jullien "Sexe, drogue mais rien de vraiment rock'n'roll dans cette quête de l'indépendance féminine. (...) Par souci de total réalisme, la réalisatrice relate les difficultés de vie de ces femmes de manière directe sans fantaisie ni fioriture. Cette simplicité déconcertante affadit les personnages (...). Néanmoins la gravité du sujet et l'empathie qu'il suscite ainsi que le jeu talentueux des trois comédiennes ne devraient avoir aucune peine à séduire le spectateur, comme le confirme les nombreux prix qui lui ont déjà été décernés." Avoir Alire |
Synopsis usuel:
Layla, Salma et Nour, 3 jeunes femmes palestiniennes, partagent un appartement à Tel Aviv, loin du carcan de leurs villes d’origine et à l’abri des regards réprobateurs. Mais le chemin vers la liberté est jalonné d’épreuves… |
Sortie ciné : 12 avril 2017 Box office France: 107 988 entrées cinéma |
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