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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie dvd et blu-ray Le Crabe-Tambour):
"En 1976, le livre de Pierre Schoendoerffer, Le Crabe-Tambour, reçut le grand prix du roman de l'Académie française. On y retrouvait les thèmes qui hantaient le cinéaste depuis son expérience personnelle de la guerre d'Indochine. Cette adaptation filmée s'attache, de la même manière, aux soldats perdus des guerres coloniales, à ces militaires qui connurent défaites et amertume, après la fraternité des armes, et qui en gardèrent une fêlure." Telerama - Jacques Siclier "Le Crabe tambour est sans doute le chef-d'oeuvre de Pierre Schoendoerffer." Dvd Classik "Le Crabe-Tambour est un film qui continue de nous interroger longtemps après sa vision, un film ambitieux qui ne livre rien d'autre qu'une bonne dose d'authenticité et surtout pas des réponses. Parce qu'il n'y a pas de révélations fracassantes à la fin des voyages, seulement l'image d'un grand jeune homme en uniforme blanc, un chat noir sur l'épaule et un sourire enfantin sur le visage et qui envoie toujours le même message signal en scott : adieu... adieu... adieu... adieu... adieu..." Dvd Classik "Pierre Schoendoerffer s'est inspiré de la vie de Pierre Guillaume, un officier de marine condamné pour avoir participé au putsch d'Alger en 1961 et pour être passé ensuite du côté de l'OAS. Le film se présente comme une suite de discussions, d'évocation de souvenirs illustrés de flashbacks. Le propos de ces officiers est marqué par la désillusion, la nostalgie, mais aussi une froide lucidité qui génère le sentiment d'être mis de côté et dépassé. Pierre Schoendoerffer se montre en totale empathie avec eux et ne porte aucun jugement, aucune condamnation sur leurs dérives." L'Oeil sur l'Ecran - Lui "Porté par une ambiance mortifère du plus bel effet, ce drame militaire magistralement interprété n'évite pas certains dérapages idéologiques liés à la nostalgie de l'époque coloniale. (...) On déplore une vision parfois un brin idéalisée de la période coloniale en Indochine et du rôle de l'armée française, apparemment uniquement constituée d'hommes d'honneur." Avoir Alire "En choisissant le très photogénique Jacques Perrin pour incarner le personnage principal et en lui plaçant comme compagnon inséparable un chat noir, le réalisateur fait de son personnage central une figure mythique voire christique, la personnification d'un idéal. Tout cela est un peu gênant et, aussi, un peu ennuyeux. Le plus beau reste les images de mer déchaînée et le réalisme des scènes de vie à bord, c'est toujours ce genre de scènes que Schoendoerffer réussit le mieux, d'autant plus que Raoul Coutard est derrière la caméra. Le film connut un beau succès, salué par trois Césars." L'Oeil sur l'Ecran - Lui "Dans la pléthore de flashback que le réalisateur nous impose, certains auraient dû être abandonnés sur la table de montage. On pense ici aux petites histoires bretonnes déclamées par Jacques Dufilho, toutes plus ridicules les unes que les autres car succombant à un régionalisme bêtifiant faisant peine à voir." Avoir Alire |
Synopsis usuel:
A bord de l’escorteur Jaureguiberry, deux hommes, le commandant et le médecin, évoquent le souvenir du Crabe Tambour, un officier qu’ils ont connu tous les deux, et qui a donné naissance à d’incroyables légendes lors de ses campagnes en Indochine et en Algérie… |
Sortie ciné : 9 novembre 1977 Box office France: 1 210 796 entrées cinéma César 1978 : 3 récompenses. César du Meilleur Acteur (Jean Rochefort), César du Meilleur acteur dans un second rôle (Jacques Dufilho), César de la Meilleure photographie. |
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