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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie dvd et blu-ray L'Homme sans frontière):
"Western réaliste, le film de Peter Fonda est une perle atypique et crépusculaire du cinéma américain des années 1970." Telerama "L'Homme sans Frontière est un western atypique, psychédélique et contemplatif à la fois. Magnifique à condition de se laisser emporter par son ambiance ouatée." Avoir Alire "Le réalisateur privilégie les moments contemplatifs et intimistes, fort réussis et touchants, principalement centrés sur le couple formé par Verna Blomm et Peter Fonda qui réapprend progressivement à se connaître et à former une famille après une séparation de sept ans. Formellement splendide, le film s'orne de quelques plans réellement somptueux (..)." Chroniques du Cinéphile Stakhanoviste "L'Homme sans Frontière est un film simple, réaliste, voire naturaliste. L'Ouest ici dépeint s'avère dénué de possibilité de gloire. Le plus souvent, on y meurt connement (un mari qui trouve sa femme en compagnie de son amant et le tue en pensant que celui-ci s'apprêtait à prendre son pistolet). On y meurt aussi de façon complètement anonyme. Il n'y a pas de place pour les légendes." Psychovision "L'Homme sans Frontière est un western de l'intime, auscultant les sentiments de trois cœurs solitaires qui ne veulent plus l'être." Tortillapolis "Deux ans après le succès d'Easy Rider, sorti en 1969, la notoriété acquise par Peter Fonda l'élève en icône de toute une génération fascinée par son personnage de « Captain America ». Devant cette réussite, Universal Picture entreprend de financer cinq films « semi-indépendants », censés donner plus de liberté aux réalisateurs ; une aubaine pour Peter Fonda qui peut se lancer dans sa première réalisation, L'Homme sans Frontière." Il était une fois le Cinéma "Prenant le contre-pied des attentes d'un public qui a soif de renouveau, Peter Fonda ne réalise pas un film brossant dans le sens du poil la jeunesse qui vient de porter aux nues Easy Rider. L'Homme sans Frontière n'est pas une œuvre contestataire mais un véritable western, un hommage (...) à La Poursuite infernale de John Ford. Cependant le film se fait bien le reflet des évènements qui bouleversent alors la société américaine, Peter Fonda radiographie le genre roi du cinéma, le western, à l'aune d'un public, d'une société, dont les rêves et les illusions s'envolent un à un. L'Homme sans Frontière est une passionnante réflexion sur un genre qui est arrivé à son point de rupture. Une œuvre qui fait de l'errance le symptôme d'un désenchantement généralisé." Dvd Classik "L'Homme sans Frontière est il encore réellement un western ? De grands espaces certes mais pas de duel : une tuerie ; pas de cow-boy solitaire agissant en héros mais en lieu et place deux individus errants qui ne pensent qu'à retrouver une vie simple avec femme et enfant là où dans le western classique c'était presque impossible ; une femme qui n'est pas cantonnée dans un rôle d'institutrice ou de prostituée mais qui se féminise, refuse de se soumettre, affirme ses besoins, son indépendance et clame son opinion à qui veut l'entendre : aujourd'hui rare encore sont les films hollywoodiens où une femme tient un rôle si fort, dénué des stéréotypes quotidiens de la femme au foyer bien sous tout rapport ou/et icône de mode. Verna Bloom, qui interprète le rôle et qu'on a pu voir par la suite dans After Hours de Martin Scorsese, est stupéfiante." Ecran Large - Nicolas Thys "A l'orée des années 70, le western est un genre sur le déclin et en plein questionnement. La vague du western spaghetti, la crépusculaire Horde Sauvage de Sam Peckinpah ont rendu impossible et désuet un retour aux classicisme originel d'autant que les grands maître comme Hawks, Hathaway ou Ford sont alors en fin de carrière. Sans disparaître pour autant le western fait alors sa mue avec des oeuvres adoptant une approche décalée par l'humour, la parodie ou un désamorçage des passages et intrigues archétypale du genre (...) (Little Big Man de Arthur Penn, Cable Hogue et Pat Garret et Billy le Kid de Peckinpah, Butch Cassidy et le Kid de George Roy Hill)). Fraîchement promu superstar grâce au succès de Easy Rider, Peter Fonda apportait avec cette première réalisation une contribution remarquée à cette évolution du western." Chroniques du Cinéphile Stakhanoviste |
Synopsis usuel:
Après beaucoup d’années à vagabonder, Harry Collings décide de rentrer auprès de sa femme. Il part en compagnie de son ami Arch, après avoir vengé dans un bain de sang la mort de l’un de leurs compagnons… |
Sortie ciné : 23 février 1972 |
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