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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie dvd La Cité sans voiles):
"Thriller efficace et prenant, La Cité sans Voiles est aussi connu pour son côté expérimental. Ce fut un des premiers films entièrement tourné dans une grande ville, ici New York, pour ses scènes en extérieurs, notamment la poursuite finale très réussie." Salles Obscures 2 "La Cité sans Voiles est « un film noir au style vif et documentaire, dont New York constitue le personnage principal ». Le « producteur Mark Hellinger et le scénariste Malvin Wald voulaient tourner un film sur le vif, en extérieurs et loin d'Hollywood, en incorporant la vie trépidante de New York à une intrigue policière." Véronique Chemla "La Cité sans Voiles est aussi un grand film tragique, et qui, sur certains points, annonce West Side Story, de Wise. La présentation d'un autre quartier pauvre, l'East Side, nous vaut tout un univers de foule grouillante, de maisons de briques avec leurs escaliers extérieurs, d'enfants qui se rafraîchissent sous le jet d'eau des fontaines les jours de canicule." Universciné - L'humanité, Albert Cervoni, Juillet 1970 "Le genre policier sera un prétexte au producteur pour faire en définitive un portrait de la ville de New York. Suivre des policiers dans leur fastidieuse enquête sera une occasion de pouvoir dépeindre toutes sortes de lieux, dans toutes sortes de lumières et à différents moments de la journée. « J'ai accepté de faire Naked City en dépit de l'histoire... J'ai dit oui, si on me laisse tourner dans les rues de New York, dans des intérieurs réels, avec des inconnus », déclarait Jules Dassin. Et ce sera le premier film tourné entièrement en décors naturels au cœur même des rues de New York, souvent qualifié pour cette raison de film "néo-réaliste américain"." Dvd Classik "Ce film a marqué une date. Pour la première fois, le cinéma américain sortait des studios. Dix ans avant Godard, Dassin cachait sa caméra dans une petite voiture pour filmer les gens dans la rue." Universciné - L'Obs, Juillet 1970 "La dernière partie du film nous offre une trépidante chasse à l'homme, une nouvelle fois prétexte à sublimer les rues et perspectives de Manhattan, dans un superbe noir et blanc qui vaudra un Oscar au directeur de la photographie William H. Daniels." Olivier Père "Dans le rôle du détective Dan Muldoon, doté d'une longue expérience et d'une perspicacité bonhomme, on retrouve avec plaisir l'acteur irlandais Barry Fitzgerald, connu pour ses interprétations truculentes dans plusieurs chefs-d'œuvre de John Ford." Olivier Père "Narrateur de ce film noir novateur pour l'époque, le producteur Mark Hellinger annonce d'emblée et fièrement la couleur : le vrai sujet de La Cité sans voiles sera New York sous toutes ses coutures. (...) Ravi de pouvoir s'extraire ainsi de Hollywood pour réaliser un vrai polar néoréaliste (...), Jules Dassin déchanta tout de même. Il dut batailler avec Hellinger pour obtenir ce que le projet, pourtant, induisait nécessairement : un tournage à 100 % en décors naturels. Au montage, il accepta à contrecoeur l'ajout de cette voix off où le producteur semble s'approprier le film. N'empêche, La Cité sans Voiles reste, avant tout, une réussite de metteur en scène." Telerama - Guillemette Olivier-Odicino |
Synopsis usuel:
New York. Les détectives Muldoon et Halloran sont chargé de l’enquête sur le meurtre mystérieux d’une jeune femme. A la recherche de bijoux liés au meurtre, ils vont traquer les proches de la victime pour finalement découvrir que la jeune femme assassinée est liée à un gang spécialisé dans le trafic de joaillerie. Mais ils ne sont pas au bout de leurs surprises. La traque continue alors à travers les rues de la ville… |
La Cité sans voiles est un film en noir et blanc. Sortie ciné : 13 mai 1949 Box office France: > 1 000 000 entrées cinéma Academy Awards 1949 : deux Oscars (meilleure photographie noir et blanc, meilleur montage). |
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