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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd Entre deux rives):
"Entre deux Rives renvoie dos à dos les autorités des deux Corées avec un humour parfois très noir. Les interrogatoires pratiqués dans la démocratie libérale du Sud ressemblent beaucoup à ceux du Nord communiste. Le parallèle vaut aussi pour les méthodes de manipulation de l'opinion..." Telerama - Samuel Douhaire "Kim Ki-duk filme, avec une intense dimension pathétique, le chemin de croix d'un pêcheur nord-coréen égaré en Corée du Sud." Le Monde "Le cinéaste met en scène dans Entre deux Rives la haine que se vouent les deux Corée et l'artificialité des antagonismes nationaux." Critikat "Avec Entre deux Rives, le réalisateur s'attaque au délicat sujet de la scission de la péninsule coréenne, une problématique qu'il avait déjà traitée, avec une approche relativement similaire, quinze ans plus tôt dans The Coast Guard. Pour cela, le schéma de son intrigue est des plus simples : envoyer un Nord-coréen au sud et en imaginer les conséquences. Ce point de départ est éminemment efficace puisqu'il permet en quelques minutes de révéler la tension et la défiance qui rendent à ce jour impensable une réunification entre ces deux pays qui en furent autrefois un seul." Avoir Alire - Julien Dugois "Le canevas du film, apparemment simple, est pour Kim Ki-duk l'occasion d'un travail de cinéma passionnant à plus d'un titre. (...) Comme il en est coutumier, il procède en mêlant conte métaphorique et hyperréalisme souvent d'une extrême brutalité. Le procédé a pu dans le passé sembler une outrance facile et aguicheuse, il est ici tout à fait justifié." Slate "Kim Ki-duk signe un pamphlet politique et tragique qui écorche - de manière démonstrative - les deux Corées." Fiches du Cinéma "Du fait de la succession des interrogatoires et tortures éprouvés par Nam Chul-woo, le film n'est pas sans évoquer L'Aveu de Costa-Gavras." Bande à Part "Le cinéaste n'a jamais été un optimiste, mais, à sa grande époque, celle de l'Ile (2000) et de Locataires (2004), il tirait de son désespoir une matière poétique. Rien de tel dans cette charge brutale contre son pays, symptomatique d'une inspiration et de conditions de production de plus en plus frustes. Kim Ki-duk renvoie dos à dos le sud libéral et le nord communiste, tout aussi corrompus selon lui. Sa démonstration est frontale, peu subtile, mais sa colère et son indignation sont contagieuses." L'Obs - Nicolas Schaller "Animé d'une volonté louable de réconciliation, Ki-duk confond discours et message, met sur le même plan dictature (pas si méchants les nord-coréens) et démocratie (on n'est pas si heureux dans les pays riches) pour un résultat qui frise la démonstration scolaire." Première "Le film oscille entre banalités (bah oui, on se comprend par-delà la nationalité…) et tentatives assez mollasses de bander les muscles en se frottant aux codes du film d'espionnage pur jus." Les Inrocks "(...) les séances de torture mentale se multiplient, et la découverte du monde capitaliste par le Nord-Coréen reste secondaire. D'où une théâtralité et une violence parfois éprouvantes, à peine rachetée par une scène d'errance dans la rue, bien plus réussie mais parcimonieuse." L'Humanité |
Synopsis usuel:
Sur les eaux d’un lac marquant la frontière entre les deux Corées, l’hélice du bateau d’un modeste pêcheur nord-coréen se retrouve coincé dans un filet. Il n’a pas d’autre choix que de se laisser dériver vers les eaux sud-coréennes, où la police aux frontières l’arrête pour espionnage. Il va devoir lutter pour retrouver sa famille… |
Sortie ciné : 5 juillet 2017 |
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