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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod 20th Century Women):
"20th Century Women représente la quintessence du bon cinéma indépendant mainstream, cotonneux, éthéré, et habité par de magnifiques personnalités décalées, en quête de réponses existentielles et surtout du bonheur." Avoir Alire "Mike Mills s'est inspiré de sa propre enfance (...). 20th Century Women est un beau film sur l'éveil et la maturité, très tendre mais également empreint d'une élégante mélancolie. Avec notamment une Elle Fanning excellente." Ecran Large - Geoffrey Crété "Ces femmes de 1979 sont réellement du 20ème siècle, avec des problématiques qui ne seront jamais vraiment résolues, bien au contraire, les familles monoparentales et l'absence du père, la découverte du désir sexuel, l'ultra-moderne solitude… Annette Bening est époustouflante, hypnotisante, et tient certainement là un de ses plus beaux rôles." Ciné Séries Mag "Mills s'adonne ici à la chronique relâchée, préférant à la dramaturgie classique l'étude de caractères et le récit impressionniste. On croirait ainsi feuilleter un carnet intime d'adolescent dont glisseraient des entre-pages saturées quelques Polaroid, tickets de concerts (en l'occurrence de groupes punk et post-punk : Talking Heads, Siouxie, Devo, Buzzcocks, Suicide…), ou de petits objets minutieusement consignés." Les Inrocks "20th Century Women est un récit du basculement de l'enfance à l'âge adulte sur fond de féminisme et de punk attitude." Le Blog du Cinéma "Mike Mills affine encore son art d'agencer l'historique et l'intime, la fiction et les images d'archives. Mais il réussit d'abord un magnifique portrait de mère." Telerama - Louis Guichard "Certains aspects peuvent décevoir. Tout d'abord, le réalisateur-scénariste Mike Mills, sans doute trop passionné par le caractère autobiographique de son film, paraît incapable de se focaliser sur tel(le) ou tel(le) protagoniste, ce non-choix le conduisant notamment à utiliser plusieurs narrateurs : deux au début, et jusqu'à cinq vers la fin ! Ceci apporte un peu de confusion au film (...). D'autre part, il flotte chez le spectateur ce sentiment de voir un énième film américain indépendant un peu bobo-mélancolique qui explore l'adolescence et le sens de la vie avec un faux rythme parfois plombant ! " Abus de Ciné - Raphaël Jullien "Le film possède d'évidentes faiblesses narratives. En près de deux heures, le réalisateur a tendance à s'éparpiller, à perdre de vue le sens dans des péripéties et scènes inégales, notamment parce qu'il balaye de nombreux sujets." Ecran Large - Geoffrey Crété |
Synopsis usuel:
En 1979, à Santa Barbara. Depuis son divorce quelques années plus tôt, Dorothea Fields s'occupe seule de son fils de 15 ans, Jamie. Dans sa grande maison, dont elle a fait une pension, Dorothea a deux locataires aux vies compliquées : Julie, 17 ans et Abbie, 28 ans. William, qui effectue des travaux de rénovation, fait également partie de leur entourage. Alors que Dorothea tente d'accompagner son fils, qui passe par différents états de l'adolescence, Jamie se confie plus volontiers à Julie, qui ne le laisse pas vraiment indifférent. Dorothea demande alors aux deux jeunes femmes de l'aider à mieux le comprendre. |
Sortie ciné : 1er mars 2017 Box office France: 66 840 entrées cinéma |
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