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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd Les Jours venus):
"Les Jours venus est une comédie autobiographique sur les années militantes de Romain Goupil." Avoir Alire "Quand elle ne meurt pas à 30 ans, comment une génération survit-elle à 60 ? En étant ingénument fière d'avoir mené à bien, jadis, de belles révoltes, et vaguement triste de ne pas avoir su en mener d'autres… Alors qu'il met en scène son propre enterrement, en gueulant comme un forcené, son vieux pote Daniel Cohn-Bendit, appelé pour faire de la figuration, lui lance : « Trotskiste un jour, tyran toujours ! » Tout est dit…" Telerama - Pierre Murat "Le cinéaste compose un savant bric-à-brac où fourmillent nombre de ses réflexions. Cette succession de scènes, rythmée autant qu'efficace, rebondit de sujet en sujet au gré de sa curiosité. Crise syrienne, caisses de retraites, Vélib ou association de locataires : autant de thèmes qui cohabitent dans une joyeuse effervescence. Cependant le fond est bien autre. Derrière ce patchwork d'idées, se cache une réelle introspection humaine et artistique." Abus de Ciné - Gaëlle Bouché "Romain Goupil vieillit et le raconte. (...) il se met en scène dans son propre rôle, en sexagénaire un peu désabusé, adolescent attardé qui a du mal à supporter que les jeunes filles ou femmes ne le regardent plus que comme un dinosaure, un militant soixante-huitard éternel, un père, etc. C'est drôle constamment." Les Inrocks "Si Romain Goupil parle de lui dans ses films, y fait participer sa famille, ses amis de toujours en filmant souvent sur les lieux de son enfance, c'est qu'il est un bon filtre des époques qu'il a traversées et traverse encore. Dans Les Jours venus, il plante sa caméra dans la cité du 18ème arrondissement où il a vécu, passe par la Bretagne où il séjournait en vacances enfant, Sarajevo, où il a rencontré son épouse, le tout alimenté de stock-shots sorties de ses archives, mélangés à des images contemporaines." Culture Box "Un cinéaste sexagénaire (...) imagine son personnage, cinéaste lui-même, produire des catastrophes par le seul effet de tourner un plan. C'est exactement ce qui se passe dans Les Jours venus : dès les premières images, la catastrophe arrive à grands pas. (...) Les échanges avec la banquière (Valeria Bruni Tedeschi) sont gratinés. Noémie Lvovsky joue comme une pelle. Mais comment faire avec des dialogues pareils ? Quand le cinéma bobo se déchaîne, ça fait mal." Le Parisien |
Synopsis usuel:
Le jour venu où vos enfants regardent votre passé comme si vous aviez fait Verdun. Le jour venu où une lettre administrative interroge votre âge et votre statut et vous pousse vers la retraite. Le jour venu où votre dernière idée de scénario ne se transforme pas en film. Le jour venu où votre nouvelle banquière vous convoque impérativement. Le jour venu où vous vous souvenez de votre rencontre avec Elle pendant la guerre à Sarajevo. Le jour venu où vous commencez toutes vos phrases par « avant ». Le jour venu où tout votre temps se décompte, les enfants grandissent, vos parents faiblissent. Le jour venu où vous rencontrez une jeune femme qui aime les vieux : les vieux mariés. |
Sortie ciné : 4 février 2015 Box office France: 25 533 entrées cinéma |
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