|
|
|
vod
dvd
|
|
Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie dvd La Mouche 2):
"La Mouche 2 est une suite absolument pas déshonorante du chef-d'œuvre de Cronenberg. Efficace malgré quelques grosses maladresses." Avoir Alire "Le film de David Cronenberg La Mouche était une parabole inquiétante sur les rapports entre la réalité et le monde de la science. (...) Le propos de Chris Wales est moins ambitieux car, ici, le gore et la surenchère en effets spéciaux ont pris la place de l'inquiétude philosophique. Que deviendra Martin Brundle ? Pourra-t-il échapper à l'emprise du dangereux Bartok ? La transformation dont son père avait été victime ne risque-t-elle pas le menacer à son tour ? Autant de questions auxquelles vont répondre les auteurs de ce drame terrifiant, souvent efficace, mais, en réalité, parfaitement prévisible et décevant par rapport à l'oeuvre de Cronenberg." Telerama - André Moreau "La Mouche 2 joue sur des ficelles paranoïaques et dramatiques classiques mais toujours efficaces pour faire du destin de Martin une tragédie humaine poignante. Celle-ci doit beaucoup à la partition à la fois puissante et sensible du compositeur Christopher Young, ainsi qu'à l'interprétation d'Eric Stoltz, à nouveau parfait malgré le complet changement de registre." Abus de Ciné - Christophe Brangé "Il ne se passe pas grand chose de passionnant dans cette suite pour laquelle pas moins de quatre scénaristes sont pourtant intervenus. (...) le manque d'imagination de La Mouche 2 est étonnant. A la fois suite et remake, le seul élément nouveau est amené par la naissance du fils de Seth Brundle, et sa croissance exceptionnelle. En effet, il grandit de quatre ans par année d'existence, ce qui fait qu'à l'âge de cinq ans, il en fait déjà vingt." Devil Dead "Bien sûr, la renommée du film de Cronenberg aura largement contribué à piquer la curiosité des horrorphiles et aura même été largement exploitée pour la campagne promo. Tous les magazines spécialisés l'auront chroniqué en long et en large, en faisant bien la différence entre les deux œuvres qui ne jouent pas dans la même catégorie. Ce que les revues plus généralistes voire élitistes ne manqueront pas de souligner et de pointer du doigt afin de mettre en évidence à quel point le film de Walas constitue vraiment du popcorn-movie de bas de gamme comparé à l'incroyable maîtrise affichée par Cronenberg. Considérant les maquillages de Walas plus nobles lorsqu'ils servent les thématiques de l'auteur canadien. Parce que c'est un Ôteur. Evidemment que les deux œuvres ne peuvent être appréciées de la même manière, mais rien n'empêche de les considérer aussi réussies l'une que l'autre, chacune dans leur genre. On ne peut nier au film de Walas une sincérité et un réel plaisir derrière l'hommage à son aîné. Comme quoi, il y a 20 ans aussi les films de genre faisaient les frais d'une certaine condescendance et ostracisme primaire." Cinéma Fantastique - The creeper "Succéder au film mythique de Cronenberg n'est pas rien. Rarement un film n'a autant suscité la frayeur chez ses spectateurs et lui coller une suite n'était pas l'idée du siècle, tout le monde en conviendra." Cinéma Fantastique - Damien Taymans "Effets spéciaux torrides et scénario réaliste sont les forces incontestables de ce métrage. Malheureusement, cette qualité formelle et scénaristique s'essouffle au film du film et on sent que, passé l'heure de film, on n'aura plus grand-chose à se mettre sous la dent. Les dernières séquences ne résident plus qu'en une poursuite digne des films de slashers moyens ponctuée par une happy end fort indigeste. Tous les méchants meurent et seuls les gentils survivent. C'est d'une tristesse effarante au vu de la qualité du reste de l'œuvre." Cinéma Fantastique - Damien Taymans |
Synopsis usuel:
Le génial savant Seth Brundle, auteur de travaux sur la téléportation, s'était mué en une mouche monstrueuse à la suite d'une erreur de manipulation. Après sa mort, sa femme enceinte s'éteint à son tour en donnant naissance à leur fils, Martin. L'enfant semble normal mais grandit à une vitesse accélérée, sous la surveillance constante des chercheurs de Bartok Industries, dirigée par Anton Bartok, personnage ambitieux et sans scrupules. Martin accepte de collaborer au parachèvement de l'oeuvre de son père, jusqu'au jour où il découvre qu'il est manipulé. Fou de rage, il prend la fuite avec son amie Beth, mais il est stoppé par l'inquiétante apparition des signes avant-coureurs de sa métamorphose. Rapatrié d'urgence au centre alors que le processus est déjà largement entamé, Martin résiste aux sommations de Bartok, qui veut obtenir le code d'accès au système de téléportation, enfin mis au point... |
|
|