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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Foxtrot):
"Le second long-métrage de Samuel Maoz s'impose comme une œuvre d'une incroyable pertinence sur le malaise qui étreint la société israélienne depuis plusieurs décennies. Difficile, mais essentiel." Avoir Alire "Le discours antimilitariste que porte Samuel Maoz a provoqué une vive polémique en Israël où la ministre de la culture n'a pas hésité à qualifier le film d' « indigne », affirmant qu'il donnait une mauvaise image de l'armée. Une crispation qui révèle l'importance des questionnements soulevés par Samuel Maoz : Que signifie être israélien aujourd'hui ? Comment porter l'héritage de la Shoah ? Quel avenir donner aux nouvelles générations ? " Le Blog du Cinéma "Le cinéaste s'attaque aux tabous fondateurs." L'Humanité "La force du cinéma sera toujours de savoir tendre un miroir critique à la société, ce qu'ont fait en leur temps sur la guerre du Vietnam Michael Cimino ou Oliver Stone. Pourtant, comme l'a fait valoir Samuel Maoz, ils ne furent pas considérés comme des traîtres mais bien comme des patriotes ! La réaction de la droite israélienne (“toute critique d'Israël est une menace pour Israël”) ne fait que confirmer la pertinence de ce travail et souligne le nauséabond d'une position qui fait tourner en rond, tel un foxtrot, cette danse où l'on revient toujours obstinément à son point de départ…" Les Fiches du Cinéma "Samuel Maoz raconte une société malade, cernée par une violence qu'elle semble d'abord s'infliger à elle-même. Une scène - métaphorique, encore une fois - où des militaires camouflent une bavure en enterrant des cadavres d'innocents à la nuit tombée, a fait grincer des dents en Israël, la Ministre de la Culture ayant été jusqu'à déplorer que Foxtrot représente le pays dans la course aux Oscars." Première "Graphique et intense, le film de Samuel Maoz raconte en trois temps la crise d'une société qui a trahi ses valeurs." Slate "L'image, sophistiquée, ajoute à la force de ce film aussi dérangeant qu'hallucinant." L'Obs "Avec sa mise en scène graphique, le réalisateur enferme ses personnages dans un monde à part. L'inventivité visuelle devient l'expression de leur traumatisme, de leur peur d'affronter la réalité." Telerama - Frédéric Strauss "Samuel Maoz a tenté de concentrer en à peine deux heures des décennies d'interrogations sur l'identité et le devenir de l'Etat juif. Le cinéaste le fait en déployant un arsenal impressionnant : dérision, distanciation, recherche formelle qui confine au maniérisme. Cette virtuosité est souvent irritante, elle est peut-être nécessaire pour tenir en respect la force de la tragédie qui menace sans cesse d'engloutir le monde absurde dans lequel se débattent les personnages de Foxtrot." L'Humanité "Samuel Maoz est un cinéaste agaçant. Il est facile d'imaginer qu'il ait voulu se soustraire au réalisme qui entrave bon nombre de films israéliens. D'où son goût pour la parabole (sur le hasard qui fait bien ou mal les choses). Son tropisme pour la tragédie frôlant l'absurde. Et son penchant pour un formalisme criard. Vues en plongée depuis le plafond, caméra tournoyante, récit concassé : pour ceux qui ne l'auraient pas compris, Samuel Maoz est un metteur en scène m'as-tu-vu. La première demi-heure est asphyxiante par ses effets de rupture, ses gros plans, sa confusion supposée refléter le chaos intérieur du père. Ce devrait être touchant, mais on ne ressent rien tant le héros est noyé sous les tours de force visuels. Dans le deuxième segment de cette sorte de triptyque, changement de registre : le cinéaste passe à la loufoquerie, au décalage surréaliste. Mais sans convaincre… Il faut attendre la troisième partie, focalisée sur la femme (troublante Sarah Adler), pour que la mise en scène se pose, suscitant enfin l'envie d'entendre et de voir un personnage, de le suivre dans ses tourments comme dans sa joie (...)." Telerama - Jacques Morice |
Synopsis usuel:
Michael et Dafna, mariés depuis 30 ans, mènent une vie heureuse à Tel Aviv. Leur fils aîné Yonatan effectue son service militaire sur un poste frontière, en plein désert. Un matin, des soldats sonnent à la porte du foyer familial. Le choc de l’annonce va réveiller chez Michael une blessure profonde, enfouie depuis toujours. Le couple est bouleversé. Les masques tombent. |
Sortie ciné : 25 avril 2018 Box office France: 57 570 entrées cinéma |
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