|
|
|
vod
dvd blu-ray
|
|
Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray New York 1997):
"L'inspiration première du réalisateur vient du western : « Le héros est un tireur solitaire, qui se révolte contre l'autorité et les lois. » Avec une grande jubilation, on suit les péripéties délirantes de ce « cow-boy » égaré dans le futur. Comme tous les personnages sont des crapules, pas de psychologie : l'action prime." Telerama - Philippe Piazzo "New York 1997 est un film de science-fiction, de type post-apocalyptique. Il a toutefois toutes les apparences d'un film d'action. Avec un budget limité, John Carpenter est parvenu à créer un univers très crédible et à donner beaucoup de force et de présence à son anti-héro au bandeau sur l'oeil au point que se développa un culte autour de son personnage. L'ensemble est fort bien ficelé et plaisant, malgré l'absence de profondeur du scénario. Le film a été maintes fois copié, rarement avec bonheur…" L'Oeil sur l'Ecran - Lui "New York 1997 a offert à Kurt Russel l'un de ses meilleurs rôles." Avoir Alire "New York 1997 reste à coup sûr l'une des plus grandes réussites du cinéma de science-fiction. Synthèse de l'amateurisme fauché façon Roger Corman et de la nouvelle vague américaine, il permet à Carpenter de laisser libre cours à son goût de la série B, sa maîtrise du Cinémascope et son inclinaison pour les personnages de solitaires anarchistes (...). Très inventif, le film (...) reste aussi, en regard des méga-budgets actuels, une époustouflante leçon d'économie (on a en effet l'impression de voir beaucoup plus que ce qui est montré). Film visionnaire, mais jamais esthétisant (Carpenter s'attache aux personnages, pas aux effets spéciaux), il reste avec Phantom of the Paradise l'un des rares cult-movies à avoir bien franchi l'épreuve du temps." Les Inrocks - L. Vachaud "C'est un film d'aventures dans une atmosphère de fin du monde. John Carpenter a réussi à rendre à la fois spectaculaire et angoissante sa ville fantôme peuplée de pirates (voir le bandeau sur l'oeil de Snake, « le Serpent »)." Telerama - Philippe Piazzo "New York 1997 est un huis-clos certes urbain, mais surtout agoraphobe, qui nous emmène au plus profond de notre amour du cinéma. Tout y est : une vision du futur immédiat forcément fascinante (ne pas s'arrêter à l'année 1997, tant les États-Unis d'aujourd'hui ressemblent déjà en partie à ce qui est décrit dans le film), un suspense basique mais ô combien efficace, un anti-héros au nihilisme et jusqu'au-boutisme cinégénique qui ne peut que satisfaire notre besoin d'identification, le tout enfermé dans un esthétisme visuel qui marque à tout jamais." Ecran Large - Sandy Gillet "Au fil des ans, le personnage de Snake Plissken est devenu une véritable icône. Anti-héros qui n'agit que pour lui-même, Snake Plissken s'inscrit naturellement dans un système où la vie humaine n'a plus beaucoup d'importance. Pas vraiment du côté du bien, Snake Plissken apparaît pourtant bien plus humain qu'un Président des Etats-Unis, incarné par Donald Pleasence, antipathique mais probablement pas si éloigné de la plupart des personnes qui nous gouvernent." Devil Dead "Mention spéciale à l'hilarant Ernest Borgnine, bien loin de son rôle dans La Horde Sauvage, qui apporte son point d'humour et rend l'ensemble un peu plus fun, ce qui permet au passage de digérer les quelques archaïsmes qui parsèment le film (le lot de tout bon film de sf une fois la date de péremption passée). On ne pourra s'empêcher de sourire devant ces talkies-walkies affublés d'antennes de trois mètres. Ce petit côté old school, finalement peu dommageable, ne peut que réveiller une pointe de nostalgie dans nos cœurs d'enfants perdus à jamais dans les circonvolutions de nos adolescences étriquées qui ont fait de nous les reliquats de la société actuelle." Cinéma Fantastique |
Synopsis usuel:
1997. Manhattan est une ville-prison où sont enfermés 3 millions de prisonniers. Victime d’un attentat, l’avion du Président des Etats Unis s’écrase dans Manhattan. Snake Plissken est chargé de le retrouver et le ramener sous 24 heures. Passé ce délai, les implants qu’il a dans la tête exploseront… |
Sortie ciné : 24 juin 1981 Box office France: 1 278 378 entrées cinéma |
|
|