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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod Sparring):
"La composition de Mathieu Kassovitz dans le rôle de Steve est impressionnante. Fragile et fort en même temps, fier et blessé, il apporte une grande profondeur à un personnage déjà bien attendrissant sur le papier." Ecran Large "Même s'il en montre, en détail, les coulisses, les rituels et les souffrances, Sparring n'est pas un film de boxe, mais l'histoire d'un père aimant, dont la plus belle victoire serait de prouver à sa fille que le plus important est de tenir." Telerama "Sparring, c'est la tendresse et la pudeur d'une relation père/fille au cœur d'un monde de brutes." Avoir Alire "Le réalisateur Samuel Jouy donne sa profondeur à Sparring en racontant avec pudeur et délicatesse que le regard que l'on porte sur ceux qu'on aime peut changer un destin, encourager, porter, pousser à s'accomplir, ou l'inverse." Le Blog du Cinéma "Sparring nous embarque dans les coulisses de l'univers de la boxe avec une surprenante délicatesse (...)." Le Blog du Cinéma "Le monde de la boxe est vu du côté des perdants. L'heure serait-elle aux premiers films démythifiant le sport ? " Les Inrocks "Mathieu Kassovitz est très juste dans son interprétation. Il incarne cet homme qui prend les coups, sans révolte. Lui qui dit ne jamais travailler ses rôles a en tout cas entraîné son corps et sa tête à recevoir des coups, et à boxer. Il n'y a pas à tourner autour du pot : il est ultra convaincant, et rend très attachant son personnage." Le Genou de Claire "Entraîné comme un grand sportif, Mathieu Kassovitz assume les combats du film. Le comédien a le don de jouer les héros ordinaires, de leur conférer une puissance mentale, de transformer la zone trouble dans laquelle évoluent ses personnages en espace de fantasmes romanesques pour le spectateur (...)." Bande à Part "Au fil du film, le scénario est de plus en plus convenu." L'heure de la Sortie "Il manque à Sparring une certaine authenticité. Cette rédemption se déploie dans un récit des plus banals, une revanche sociale incrustée dans un naturalisme artificiel et caricatural qui conditionne tout. Ainsi, le scénario bâclé surligne la précarité de la famille de Steve, employé de cantine le jour, boxeur médiocre la nuit, dont le seul espoir de renverser le déterminisme réside dans le don de la fille aînée pour le piano. On voit poindre ici un schématisme psychologique et sociologique balourd dans une succession de dialectiques : père laborieux/fille douée, boxe comme une activité roturière/piano comme un art noble - le seul enjeu du film consistant à savoir si Steve gagnera assez d'argent en se sacrifiant sur le ring comme sparring partner de la star Tarek M'Barek (Souleymane M'Baye) pour acheter un piano à sa progéniture." Critikat - Thomas Choury |
Synopsis usuel:
Steve Landry, boxeur quadragénaire qui compte plus de défaites que de victoires à son palmarès, vit avec sa femme Marion et ses deux enfants, Aurore et Oscar. Steve est par ailleurs employé dans une cantine. Même s'il a des revenus modestes, il rêve d'offrir un piano à Aurore afin qu'elle puisse se perfectionner à domicile. Mais ses tentatives pour trouver un gala de boxe se révèlent infructueuses. Il parvient alors à convaincre l'entraîneur de Tarek M'barek, jeune espoir prometteur du noble art, de devenir son sparring partner. |
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