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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Dilili à Paris):
"Le créateur de Kirikou plonge une petite Kanak cultivée dans le Paris de 1900. Enquête mystérieuse, couleurs féeriques, propos féministe… Un régal." Telerama - Guillemette Odicino "Michel Ocelot a choisi de ne pas dessiner Paris, estimant qu'il ne pouvait, avec son crayon, la faire plus belle qu'au naturel. Il l'a donc longuement photographiée dans tous ses atours, des plus touristiques et célèbres aux plus insolites et discrets, et a, ensuite, retravaillé ces vues, effaçant au passage tout indice de modernité, pour remonter le temps. Le résultat est stupéfiant." Telerama - Guillemette Odicino "Toujours en quête d'innovations visuelles et esthétiques, Michel Ocelot suit les aventures mouvementées d'une fillette Noire à la Belle Époque avec un travail pictural en hommage aux tableaux de maîtres." Avoir Alire "Tout le film est dans un décalage entre la naïveté enfantine de la narration et la noirceur des thématiques abordées. La balade dans le cadre sublime du Paris de la Belle époque se mue peu à peu en cauchemar et seule la candeur de la petite Dilili résiste aux Mâles-Maîtres." Paris Match "Michel Ocelot reste fidèle à ses convictions : défendre avec malice les opprimés dans des films d'animation qui s'adressent au plus grand nombre, et en aucun cas uniquement aux enfants." 20 minutes "Tout en divertissant les jeunes spectateurs et leurs parents avec un récit palpitant et beaucoup d'humour, le cinéaste s'attaque à l'intolérance religieuse, aux violences faites aux femmes et au racisme. Épatant…" Le Parisien "Dilili à Paris pâtit considérablement d'une contradiction dans son ambition même : derrière l'apparence légère et candide du conte (distillée dans sa narration, ses personnages et son travail visuel) le film assène au contraire un discours lourdement symbolique qui plombe tout le potentiel poétique qu'il semblait promettre." Critikat "Ocelot s'époumone à injecter de manière beaucoup trop artificielle et systématique toutes les grandes figures intellectuelles de l'époque (Proust, Rodin, Toulouse-Lautrec, Satie, Pasteur, Monet, Eiffel...). (...) ce name dropping des plus grandes restas parisiennes devient très vite assez pénible tant leur fonction de pures guests se limitent à celles de très beaux pots de fleur disséminés dans le décor. Dommage aussi lorsque, sous couvert de rendre hommage à ces illustres noms, le film nage dans un grand délire de naïveté en se sentant obligé de les dépeindre comme des gens humainement formidables, plus adorables et serviables les uns que les autres. Ce manque de nuance fait d'autant plus râler qu'il est inhabituel dans le cinéma d'Ocelot. (...) C'est dans une deuxième partie moins lourdement éducative et plus frontalement politique que la force métaphorique du cinéma d'Ocelot prend alors violemment forme et interpelle. Mais alors que le récit s'emballe et commence à nous emporter avec lui, déjà l'écran se rallume (...)." Les Inrocks - Ludovic Béot "Vingt ans après les aventures de l'espiègle et vaillant Kirikou, Michel Ocelot nous assomme avec une petite fille kanake sentencieuse et gnangnan dans le Paris de la Belle Époque." Le Figaro |
Synopsis usuel:
Dans le Paris de la Belle Époque, en compagnie d’un jeune livreur en triporteur, la petite kanake Dilili mène une enquête sur des enlèvements mystérieux de fillettes. Elle rencontre des hommes et des femmes extraordinaires, qui lui donnent des indices. Elle découvre sous terre des méchants très particuliers, les Mâles-Maîtres. Les deux amis lutteront avec entrain pour une vie active dans la lumière et le vivre-ensemble… |
Sortie ciné : 10 octobre 2018 Box office France: 620 014 entrées cinéma |
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