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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray The House that Jack built):
"The House that Jack built est une expérience sidérante signée Lars von Trier." Les Inrocks "The House that Jack built est une réflexion sur le mal, érigé en art par Lars von Trier, et qui glisse vers l'autoportrait." Telerama - Jacques Morice "Le personnage incarné par Matt Dillon (impérial d'un bout à l'autre du métrage) peut être vu comme un alter ego du réalisateur." Abus de Ciné - Raphael Jullien "Avec cet autoportrait de l'artiste en psychopathe, Lars von Trier s'expose délibérément aux foudres de ses détracteurs." Culture o Poing "Les détracteurs de Lars von Trier risquent de le détester encore plus avec ce film ! Avec la malice provocatrice qui le caractérise, le cinéaste danois continue de tisser une œuvre singulière qui sonde les limites de l'âme humaine et bouscule les normes et la morale. À ceux qui usent de qualificatifs excessifs pour le critiquer, le réalisateur leur oppose un scénario aux multiples couches de lecture, qui risque d'en choquer plus d'un, du moins parmi ceux qui refuseront d'adopter le recul nécessaire et prendront tout au pied de la lettre. Avant de poursuivre, il serait bon de clamer haut et fort un principe : aborder un film de Lars von Trier au premier degré, c'est faire inexorablement fausse route." Abus de Ciné - Raphael Jullien "Si certains segments du récit sont un peu trop inégaux, cet autoportrait radical et ravagé recèle quantité d'idées et de passionnantes mises en abyme." Ecran Large "Au début, la savoureuse virée avec Uma Thurman laisse entrevoir ce qu'aurait pu être le film : une farce cruelle, ironique - on pense aux frères Coen, en plus dérangeant. Cette parenthèse d'humour noire refermée, Lars von Trier se transforme en caricature de vieil ado désireux de choquer le bourgeois. Son héros, donc, massacre les femmes en se prenant pour un artiste." Telerama - Hélène Marzolf "Prévenons tout de suite les âmes sensibles. Si The House that Jack built n'est pas le film le plus violent de l'histoire du cinéma – nous sommes loin de l'insoutenable Schizophrenia de Gerald Kargl, un « sommet » du genre -, il comporte des séquences-choc qui ont donné quelques haut-le-cœur aux spectateurs non habitués lors de sa présentation à Cannes." Paris Match "Propager l'argument « violence insoutenable » que l'on accole à ce film, qui n'a de choquant qu'un crâne explosé, deux enfants abattus d'une balle et un amoncellement de cadavres surgelés, serait une grande victoire de la bien-pensance. La seule chose d'insoutenable, c'est assurément la vacuité de ce film." Avoir Alire |
Synopsis usuel:
Etats-Unis, années 1970. Nous suivons le très brillant Jack à travers cinq incidents et découvrons les meurtres qui vont marquer son parcours de tueur en série. L’histoire est vécue du point de vue de Jack. Il considère chaque meurtre comme une oeuvre d’art en soi. Alors que l’ultime et inévitable intervention de la police ne cesse de se rapprocher (ce qui exaspère Jack et lui met la pression) il décide, contrairement à toute logique, de prendre de plus en plus de risques. Tout au long du film, nous découvrons les descriptions de Jack sur sa situation personnelle, ses problèmes et ses pensées à travers sa conversation avec un inconnu, Verge. Un mélange grotesque de sophismes, d’apitoiement presque enfantin sur soi et d’explications détaillées sur les manoeuvres dangereuses et difficiles de Jack. |
Sortie ciné : 17 octobre 2018 Box office France: 49 867 entrées cinéma |
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