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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Private War):
"Private War, film biographique consacré à Marie Colvin, journaliste du Sunday Times tuée en 2012 en Syrie, se veut un « hommage » au journalisme, souvent attaqué en cette période marquée par les fausses informations, a expliqué son réalisateur Matthew Heineman." Le Devoir "Ce qu'on connaît moins de cette femme en quête d'absolu et de vérité est le combat intérieur (de là, sans doute, le titre) qu'elle a mené en parallèle à sa vie professionnelle. Ce que nous raconte avec intelligence ce film. Intelligence dans le rythme, la beauté des plans larges, les scènes parfois insupportables, mais nécessaires. À ce travail s'ajoute celui, très convaincant, de la comédienne Rosamund Pike dans le rôle de la journaliste." La Presse.ca - André Duchesne "Entre deux assignations sous le feu des balles et des bombes, ses échanges avec ses proches lèvent le voile sur ses interrogations, ses doutes, ses angoisses, ses cauchemars, sa colère." La Presse.ca "Pour incarner corps et âme cette journaliste extraordinaire, Rosamund Pike, comme jamais vue auparavant, s'approprie du personnage en question comme d'une deuxième peau où l'on inscrit son être." Revues Séquences "Un très bel et fort hommage... un film sensible et fort qui pendant son générique de fin laisse 'un gout' très amer. Rosamund Pike est comme comme toujours formidable, et plus encore ici dans ce rôle qu'elle endosse avec conviction." Sens critique - HenriMesquidaJr "Contrairement à ce que l'on pourrait imaginer, ce n'est pas un film chiant, long, qui se veut intello. Au contraire le film a du rythme, les scènes de guerres sont brillamment filmées, on ne parle pas pour ne rien dire. L'intérêt de suivre la journaliste sur plusieurs années nous permets de comprendre sa psychologie, ses troubles post-traumatiques, comment les guerres ne peuvent pas laisser un être humain indifférent." Sens critique - Meuporg "L'intrigue est très pauvre. On ne sait pas où on va, il n'y a pas d'objectif principal, on suit juste le parcours de la journaliste de manière très décousue. (...) Les personnages sont pauvrement écrits ; (...) Le récit montre assez mal aussi l'horreur de la guerre et en particulier pourquoi la dernière citée est la plus terrible (il faut que le personnage l'explique en interview...). (...) La mise en scène sauve le film un petit peu, avec quelques jolis plans (une lumière joliment captée) et des décors sympas (mais peu exploités). Le découpage est correct, le montage rythmé, mais c'est un peu plan-plan, on aimerait découvrir un peu plus le terrain, surtout lorsqu'elle est dans un pays en guerre. L'on trouvera quelques séquences plus visuelles satisfaisantes, mais hormis ces rares séquences, le reste est assez peu remarquable. Rosamund en fait trop, on se croirait dans un film à oscars tant elle est généreuse en grimaces, c'est un peu agaçant." Sens critique - Fatpooper |
Synopsis usuel:
Dans un monde dévasté par les conflits, Marie Colvin est l’une des correspondantes de guerre les plus célèbres de notre époque. Son esprit intrépide et rebelle, sa volonté de donner la parole aux sans voix, sa capacité à constamment tester ses limites font d’elle une frondeuse qu’aucune élite ni dictateur n’effraient. Jusqu’au jour où, accompagnée du photographe de guerre Paul Conroy, elle entreprend la mission la plus dangereuse de sa vie dans la ville syrienne assiégée de Homs. |
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