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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Once Upon a Time… in Hollywood):
"Once Upon a Time… in Hollywood risque de diviser les fans de Tarantino. Et pourtant, il s'agit probablement de son film le plus sincère et le plus touchant depuis Jackie Brown. Une ôde au cinéma en tant qu'échappatoire tout autant qu'un rappel à la dure réalité. Bouleversant, magnifique, chef-d'oeuvre." Ecran Large - Christophe Foltzer "Déclaration d'amour à une époque bénie jetant ses derniers feux, ce neuvième film impose une nonchalance inédite. Ni tout à fait le même, ni tout à fait un autre, Tarantino séduit." Télérama "Once Upon a Time… in Hollywood est un culte aux losers magnifiques. Leonardo DiCaprio et Brad Pitt sont tous les deux fabuleux." Paris Match "Souvent associé aux gerbes de sang et à la violence, on a souvent tendance à oublier que Quentin Tarantino est aussi un réalisateur sensible qui aime fouiller des personnages au grand cœur." My Sceens "Si DiCaprio livre une partition tout en intensité, dans ce registre tragi-comique qu'on lui connaît bien, Brad Pitt crève l'écran en "cool guy", ce mec tranquille qui a l'art d'en imposer sans rien faire, tout en concentrant dans les recoins de son visage buriné l'attitude du loser magnifique." L'Express "Une fois n'est pas coutume, le synopsis du nouveau film de Quentin Tarentino reste volontairement famélique. (...) L'histoire commune de son duo donne lieu à un long patchwork de scènes qui s'enchainent avec une fluidité presque arrogante. Comme une introspection, Tarantino s'amuse à tourner un film dans le film, tout en narrant la fin d'une époque à laquelle des dizaines de demi-stars s'accrochent. Sa petite entreprise est entrecoupée de sketches très réussis, mais également d'un aparté sur la sanglante « Famille » de Charles Manson. (...) Comme un gamin insolent, Tarantino mélange les genres pour nous prouver qu'il sait le faire. Il rend aussi hommage à « ces films au kilo » oubliables, dont le flot constant de sorties permet de faire vivre l'industrie, enfermant au passage des acteurs dans des rôles à vie." Journal du Geek "Porté par une mélancolie et une retenue étonnantes, Once Upon a Time… in Hollywood. est une merveille de récit éclaté, toujours sublimé par des bons mots en pagaille et une bande originale au diapason, mais dont les personnages tous différents les uns des autres, ne sont plus là uniquement pour faire vivre une histoire, mais bien permettre, fugacement, à une époque charnière de renaître de ces cendres l'espace de quelques heures." Fucking Cinéphiles "L'époque à laquelle s'intéresse Tarantino est très particulière, c'est le moment où l'héroïsme stéréotypé laisse progressivement place au mouvement du “Nouveau Hollywood”, qui s'affranchit des normes (...)." Courrier international - The Atlantic "Quentin Tarantino semble trop amoureux de cette époque pour se contenter de la décrire dans ses seuls faits historiques. Il lui préfère une certaine nostalgie, ultra référencée comme à son habitude. Il va plus loin et pousse le vice jusqu'à réaliser des séquences de films ou de séries qui n'ont jamais existé, mais qu'il aurait sans nul doute souhaité réaliser à cette époque." Culturellement vôtre "Once Upon a Time… in Hollywood était de très loin le film le plus attendu du festival de Cannes, celui dont la présence ou non en sélection a fait couler le plus d'encre, surtout virtuelle (...). Cette attente surdimensionnée aggrave, et explique en partie, la déception suscitée par le film. Celle-ci tient à l'intérêt limité de qu'il raconte, mais aussi à de manifestes approximations dans le scénario et le montage." Slate "La déclaration d'amour que Tarantino fait à l'industrie hollywoodienne contemporaine de la libération sexuelle des années 1960 n'est une surprise pour personne. Ce qui est plus étonnant, c'est qu'il le fasse à travers le personnage d'un acteur au bord du burn out, et qu'il refuse d'assumer qu'il parle de lui. (...) il ne semble pas vouloir admettre que la mélancolie de ses personnages vient uniquement de lui (...), il n'arrive pas à rendre jouissive son immersion dans une époque pour laquelle il manifeste un grand attrait." Avoir Alire "Des nombreuses saynètes se dégagent un sentiment bizarre, celui du plaisir absolu d'un auteur qui n'aurait pas su transmettre sa passion, la faute à un rythme trop nonchalant, à des répliques moins explosives qu'à l'accoutumée et à une trame narrative bien trop dépourvue d'enjeux." Abus de Ciné - Christophe Brangé "Tarantino, l'auteur le plus starifié du monde, emblème de la cinéphilie pop au tournant du siècle, s'est métamorphosé en pomme de discorde : rasoir pour ceux qui le trouvaient jouissif, ultramoderne pour ceux qui le trouvaient convenu, réac pour d'autres qui l'auraient rangé autrefois à la pointe de l'empowerment féminin (Jackie Brown, Kill Bill…)." Les Inrocks |
Synopsis usuel:
En 1969, la star de télévision Rick Dalton et le cascadeur Cliff Booth, sa doublure de longue date, poursuivent leurs carrières au sein d’une industrie qu’ils ne reconnaissent plus. |
Sortie ciné : 14 aout 2019 Box office France: 2 630 953 entrées cinéma Festival de Cannes 2019 : Palm Dog. |
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