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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd Relic):
"Relic est la première réalisation de Natalie Erika James. Un film d'horreur très « auteur », soigné et efficace, qui fait frémir tant par ses images que pour ce qu'elle prédit de nos vieux jours..." MadMoiZelle "Drame familial, horreur intimiste puis monstrueux cauchemar, Relic est tout cela, grâce à l'écriture terriblement humaine et à la caméra sensible de Natalie Erika James. Avec ce premier long-métrage, elle impose une voix singulière, à suivre (en tremblant)." Ecran Large - Simon Riaux "Relic permet à la réalisatrice d'aborder plus frontalement un sujet (...), la maladie d'Alzheimer. Un sujet très personnel pour Natalie Erika James qui a elle aussi vécu la situation de voir sa grand-mère atteinte de ce mal et la voir dépérir. Un passif qui hante (c'est le cas de le dire) le récit mais, et c'est la grande force du film, ne sacrifie jamais l'aspect fantastique et l'esthétique horrifique face à la réalité de la maladie. Ils vont, au contraire, se nourrirent l'un et l'autre pour un résultat aussi terrifiant qu'émouvant." Regard Critique - Benoit Llamazares "Les images sont magnifiques, le cadrage est soigneusement réfléchi et la noirceur est utilisée pour amplifier les insécurités et la confusion. Les sons terrifiants hantent rapidement les spectateurs et la musique de Brian Reitzell (la série Hannibal) contribue à l'atmosphère. La finale a le potentiel de plaire à différents publics en laissant place à l'interprétation et en embrassant son ambiguïté. C'est donc un film pour alimenter les discussions et faire réfléchir en restant avec vous quelques jours après l'avoir visionné." Horreur Québec "Rares sont les films aussi stressants et tendus que Relic. Surfant sur l'horreur familiale à la Hérédité, le premier film de Natalie Erika James raconte avec poésie l'appréhension quotidienne du dépérissement avant d'exploser dans un dernier tiers terrifiant, anxiogène et cauchemardesque. Saisissant." Ecran Large - Alexandre Janowiak "La vieillesse est un naufrage. Tel pourrait être le plus simple et concis résumé de Relic. Avec ce film d'horreur (qui, pendant un long moment, cache sa véritable nature), la réalisatrice Natalie Erika James veut rendre effrayante et dérangeante la fin de vie. De même qu'elle veut disséquer les réactions de ceux qui assistent, impuissants, à la déchéance progressive, mentale comme corporelle, d'un proche. Dit comme ça, ça n'est pas très jojo mais croyez-nous, c'est encore plus sombre mis en image." Chaosreign "Très rapidement, l'irruption d'un surnaturel à la Edgar Allan Poe vient transformer cette histoire à hauteur d'homme (devrions nous dire ici à hauteur de femme) en une énième variation du film de possession démoniaque et de maison hantée. Aussi, la cinéaste a recours de façon systématique à tous ces bons vieux codes surannés qui accompagnent traditionnellement ce type de productions : vus et revus. Elle rate alors le coche de se démarquer pour s'embourber à corps perdu dans le tout venant. C'est d'autant plus d'hommage que dans ce cas précis, on sent bien en quoi un scénario traitant plus fortement son sujet et abordant plus en profondeur les pistes lui étant offertes (la maladie qui prendrait symboliquement « possession » d'un être en est une, véritablement sous-traitée ici) aurait pu donner une œuvre fascinante et tout aussi terrifiante." Fait pas genre - Joris Laquittant |
Synopsis usuel:
Lorsqu'Edna, la matriarche et veuve de la famille, disparaît, sa fille Kay et sa petite-fille Sam se rendent dans leur maison familiale isolée pour la retrouver. Peu après le retour d'Edna, et alors que son comportement devient de plus en plus instable et troublant, les deux femmes commencent à sentir une présence insidieuse dans la maison. Edna refuse de dire où elle était, mais le sait-elle vraiment... |
Sortie ciné : 7 octobre 2020 Box office France: 74 558 entrées cinéma |
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