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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Les Charognards):
"Ce western, sans être parfait, loin de là, est fascinant, voire hypnotique. (...) Le scénario se réduit à une longue poursuite, interrompue par des massacres au fusil à lunette. La séquence du point d'eau tournée au ralenti avec des giclures de sang « à la Peckinpah » est assez brillante et d'une brutalité insensée. Plus ça va, plus le postulat s'épure, se simplifie et le film s'achèvera au milieu de nulle part - un symbolique désert - dans un bain de sang jusqu'auboutiste qui confine au nihilisme absolu." Le Blog du West "Sans être un grand western, Les Charognards a le mérite d'aller au bout de sa logique et de laisser sur un arrière-goût désagréable. À la différence de Peckinpah qui, quoi qu'on en dise, donnait la violence en spectacle et lui insufflait des bouffées d'héroïsme même perverti, Medford la montre pour ce qu'elle est réellement : une affreuse boucherie." Le Blog du West "Nul romantisme westernien dans Les Charognards : les bandits sont des brutes analphabètes sans dieu ni maître, (...) ici pas de blessures-sans-gravité-qui-guérissent-très-vite : les blessures à l'épaule ou aux jambes sont atrocement douloureuses et souvent mortelles et les blessés agonisent dans des spasmes insoutenables. (...) Hackman joue à fond l'ignominie de son personnage : tellement abject qu'il en devient presque surnaturel. Sans oublier le plaisir de retrouver des « trognes » comme L.Q. Jones ou Simon Oakland." Le Blog du West "La violence - qui est, souvent pour le pire, un phénomène de plus en plus courant au cinéma - se justifie cette fois. Sans doute atteint-elle par moments un degré d'horreur presque insoutenable, mais, moteur de ce western d'une force, d'une beauté, d'une noblesse incontestables, elle renvoie également, et de manière très intéressante, à la non-violence." Le Monde (1971) "Frank Calder est un héros d'un type nouveau, qui aspire à une vie différente et pour qui l'enlèvement n'a de sens que s'il lui permet d'élever son âme, son esprit. A sa propre transformation, il s'attache avec une obstination presque désespérée, et si apprendre à lire est pour lui une étape décisive vers la connaissance, c'est également la possibilité d'établir un lien réel, profond, avec Mélissa (...). Et, dans l'atrocité de cette partie de chasse - où chaque signe, chaque bruit, chaque cavalcade annoncent un prochain massacre, - ce couple, excellemment incarné par Oliver Reed et Candice Bergen, fondé sur des rapports et des sentiments vrais, exprime une douceur, une tendresse et même une gaieté dont on garde longtemps le souvenir, et bien après qu'ont retenti, dans le désert, les ultimes coups de feu." Le Monde (1971) "Les Charognards est un film difficile. Il est extrêmement complexe sur les sentiments, sur la souffrance aussi bien morale que physique et sur la mort. Don Medford à poussé loin la réflexion derrière une apparence de grand guignol qui confine parfois à la folie." Allocine - TTnougat "Un casting plutôt moyen pour une intrigue du même acabit mais on ne s'ennuie pas une seconde. Candice Bergen, veuve de Louis Malle en 1995, joue particulièrement mal ! " Allocine - willycopresto "Pas toujours crédible (le soudain attrait de l'héroïne pour son ravisseur est purement incompréhensible, car n'oublions pas qu'il la viole), pas très emballant, se complaisant dans la violence et s'étirant en longueurs, Les Charognards s'apparente plus à un film réalisé dans le seul but de choquer l'audience en appuyant la violence et en vidant toute moralité et bien-être." Allocine - Wagnar "Les scénaristes n'ont rien trouvé d'original et laissent reposer tout le film sur les scènes de tir au canard au lieu d'approfondir intelligemment sur les personnages." Allociné |
Synopsis usuel:
Chef de bande et hors-la-loi, Frank Calder enlève, devant une école, Mélissa. L’ayant vue parmi des enfants, il croit, à tort, qu’elle est institutrice, et il attend d’elle qu’elle lui apprenne à lire, dans l’espoir d’échapper à sa condition. Tentative audacieuse et folie, car Mélissa est mariée à un richissime propriétaire, Brandt Ruger. Cet individu méprisable méprise sa femme - qu’il a eu plaisir à torturer sexuellement et moralement, - mais, cruauté, orgueil, vengeance, il va néanmoins prendre prétexte du rapt pour organiser, avec l’appui des notables de la région, une partie de chasse. |
Sortie ciné : 11 aout 1971 Box office France: 561 209 entrées cinéma |
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