|
|
|
vod
dvd
|
|
Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie The Nest):
"Grand Prix du Festival du Cinéma Américain de Deauville 2020, The Nest est selon Vanessa Paradis, présidente du jury, « un thriller oppressant, une fable sur le délitement d'une famille portée par une élégance de sa mise en scène et deux acteurs d'exception »." In The Mood For Cinéma "La mise en scène classique, mais extrêmement maîtrisée de Sean Darkin, créé un lancinant suspense familial." Avoir Alire "Pour expliquer la réussite du film, il convient de souligner en premier lieu la performance impeccable du duo Jude Law / Carrie Coon (...) en couple au bord de la crise de nerfs : les deux ont peut-être trouvé ici leur meilleur rôle, en tout cas celui qui exploite le plus largement leur palette de comédien. À cette composition remarquable s'ajoutent une photographie particulièrement léchée, qui confère à l'œuvre une ambiance rétro pour le moins troublante, et un sens du montage aiguisé, au service de la tragédie annoncée." Le Bleu du Miroir "En homme en pleine fuite en avant, Jude Law est excellent, très juste. Les personnages qui perdent graduellement le contrôle incitent souvent les acteurs à cabotiner, mais Law économise ses effets et lorsqu'ils surviennent, les éclats de colère ou d'exaspération voient leur impact décuplé. À terme, et c'est une bonne chose puisqu'il s'agit au fond du sujet du film, la relation entre les époux est ce qui fascine davantage ; les jeux de pouvoir au sein du couple (la scène au restaurant est électrisante), les demi-vérités, les faux assentiments…." Le Devoir - François Lévesque "Si la direction artistique propose des choix d'accessoires et de décors aussi élégants que cohérents avec l'histoire racontée, le terme qui revient avec aisance est : quelconque. Rien de transcendant, rien qui va inculquer à l'œuvre cette originalité qu'il lui aurait fallût aller chercher. Ce qui va pour le choix des décors, va pour les choix de cadrage, ainsi que la mise en scène de Sean Durkin. Si la sobriété est un choix pertinent, car en total opposition avec des productions indépendantes américaines qui prônent très souvent l'immersion par une caméra immersive, ainsi qu'une stylisation de tous les instants, à trop vouloir se détacher, Sean Durkin occulte toute possibilité d'immersion et d'imprégnation." Cinécinéphile |
Synopsis usuel:
Dans les années 1980, Rory O'Hara, un entrepreneur britannique, vit depuis quelques années aux Etats-Unis avec sa femme Allison, une américaine, qui donne des cours d'équitation, et leurs enfants, Sam et Ben. Mais l'homme d'affaires est en difficultés financières et décide de retourner à Londres avec sa famille afin de se refaire une situation, en profitant d'un nouveau climat politique et financier. La famille O'Hara emménage bientôt dans un gigantesque manoir et Allison est désormais à la tête d'un beau haras. |
|
|