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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie dvd et blu-ray L'Homme au bras d'or):
"L'Homme au Bras d'Or montre, sans fard et sans crainte de choquer, l'enfer de l'addiction à la drogue et l'incroyable difficulté d'en sortir. Les scènes de sevrage sont marquantes." L'Oeil sur l'Ecran - Lui "Otto Preminger dut batailler contre la censure et le film sortit sans le fameux sceau MPAA. L'Homme au Bras d'Or n'incite pourtant pas à s'adonner à la drogue, loin de là, mais son tort selon le Code Hays était d'en parler." L'Oeil sur l'Ecran - Lui "A l'époque, le simple mot « drogue » était banni à Hollywood. Malgré l'opposition du code Hays et des ligues de décence, Preminger parvint à concrétiser son projet, fort de l'appui de Sinatra, qui se livra à un travail de documentation exceptionnel, loin de sa désinvolture habituelle." Les Inrocks "Fort bien interprété par Frank Sinatra, L'Homme au Bras d'Or est un film courageux, plutôt difficile et le très grand succès du film à sa sortie n'en que plus remarquable. Le film est également célèbre pour son thème musical créé par Elmer Bernstein, une telle utilisation du jazz n'était alors pas si courante, et pour son admirable générique de début créé par Saul Bass." L'Oeil sur l'Ecran - Lui "A sa sortie aux Etats-Unis en 1955, L'Homme au Bras d'Or fit sensation. D'abord et essentiellement parce qu'il abordait crûment l'addiction à l'héroïne d'un musicien. (...) Ensuite, parce que, pour une des premières fois à Hollywood, le jazz servait entièrement de bande-son à un film, grâce aux compositions d'Elmer Bernstein, qui allait devenir célèbre avec la musique des Sept Mercenaires et de La Grande Evasion. Et enfin, parce que les effets graphiques du générique, conçu par Saul Bass, époustouflèrent par leur classe et leur rythme." Le Monde - Yann Plougastel "L'Homme au Bras d'Or est à la fois le meilleur film de Frank Sinatra (qui en a fait de très bons) et l'un des plus étranges (presque plus peut-être que Vertigo) de la si belle Kim Novak." Libération "Preminger fait preuve de son talent de directeur d'acteurs en permettant au surdoué Sinatra et à la beauté Novak de cohabiter sur le tournage. A côté de ce couple, ô combien glamour, le cinéaste dont le passé théâtral est évident, dirige sa troupe avec rigueur. Chacun des comédiens est parfaitement crédible, que ce soit Darren McGavin dans le rôle du dealer, Arnold Stang dans celui de l'ami attardé ou encore Eleanor Parker qui interprète la femme de Frankie. Comme souvent chez le cinéaste, chacun de ces personnages secondaires possède une forte caractérisation et participe ainsi à la richesse et à la réussite de L'Homme au Bras d'Or." Dvd Classik - François-Olivier Lefèvre "Otto Preminger dans L'Homme au Bras d'Or n'a pas pour but de réaliser un manifeste sur les dangers de la drogue et le comportement des individus face à elle ; il fait surtout un thriller interne à son héros (...). Ce que vit Frankie (...) est l'essence même du drame psychologique : il n'y a pas vraiment d'antagonistes dans le film, Frankie est contre lui-même et ses féroces fantômes. Pour cela, la théâtralité assumée de Preminger sied parfaitement à la paranoïa de son anti-héros." Le Bleu du Miroir "Le film pêche surtout par quelques longueurs. Mais cela reste un film tout à fait intéressant. Notamment pour la performance de Frank Sinatra et Kim Novak tous deux merveilleux." Rue du Ciné |
Synopsis usuel:
Après une longue cure de désintoxication, Frankie Machine, un drogué, revient à Chicago, où il devient croupier dans une salle de jeu clandestine. Il y retrouve sa femme Zosh, demeurée handicapée par sa faute après un accident. Celle-ci le harcèle. Alors qu'il tente de ne pas sombrer à nouveau dans l'enfer de la drogue, Frankie rencontre sa jeune voisine Molly, une entraîneuse qui lui redonne peu à peu le goût de vivre. |
L'Homme au bras d'or est un film en noir et blanc. Sortie ciné : 9 mai 1956 |
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