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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod Le Sergent noir):
"Malgré quelques menus défauts, cette enquête policière en décors westerniens, efficace, judicieusement construite et bien rythmée, (...) donne naissance à un film tout à fait honorable, John Ford prouvant à nouveau sa parfaite maîtrise du cadrage en extérieurs - nombre de ses plans dans Monument Valley et à San Juan River laissent pantois par leur beauté." Dvd Classik - Erick Maurel "Aux Etats-Unis en 1954, la ségrégation raciale dans les écoles publiques devient anticonstitutionnelle. (...) John Ford avec Le Sergent noir apporte sa pierre à la déségrégation." Rue du Ciné "Ceux qui ont encore en tête les clichés stigmatisant John Ford comme raciste et réactionnaire peuvent se persuader du contraire en découvrant ce mineur mais néanmoins fort estimable Sergeant Rutledge, humainement très beau et plastiquement souvent superbe, son soldat noir étant digne des plus grands héros fordiens." Dvd Classik - Erick Maurel "John Ford, en fin de carrière, surprend avec ce western antiraciste dont le héros positif est un Noir patriote et courageux." Avoir Alire "John Ford se plaît à tourner Le Sergent noir pour faire taire les accusations de racisme qu’il entend parfois et il en fait un très grand personnage, empreint de noblesse, de rigueur et surtout de dignité. Sa tirade célèbre à son procès est d’une très grande force, vraiment digne des plus grands héros fordiens. (...) Véritable plaidoyer contre le racisme, Le Sergent noir fait bien partie des grands westerns de John Ford." L'Oeil sur l'Ecran - Lui "La fin des années cinquante à Hollywood et le début des années soixante voient une importance de plus en plus grande donnée aux acteurs noirs avec de vrais personnages de premier plan (et non plus des seconds rôles). Le Sergent noir en est l’un des plus beaux exemples." L'Oeil sur l'Ecran - Lui "Tout comme le lieutenant Cantrell, Ford se prend d’affection pour Braxton Rutledge et refuse qu’on le compromette. Il croit en lui, ne l’enfermant pas dans les stéréotypes, et admet sans problème la présence indiscutable des minorités dans la société américaine. Geste louable mais parsemé d’une sensation légèrement désagréable. Ford défend le Noir mais ne le filme jamais comme une personne évoluant dans cette société blanche comme il ne l’a jamais fait avec les Indiens dans ses westerns précédents. Plus encore, le soldat noir n’a pas droit à la parole. Il ne peut se défendre et est obligé d’accepter la main tendue de son supérieur blanc pour prouver son innocence. Le Noir, aussi libre qu’il y paraît, ne peut s’intégrer que si le Blanc lui prête main forte. On ne dépasse pas ce schéma de pensée qui marque encore aujourd’hui le cinéma hollywoodien." Africulture |
Synopsis usuel:
Arizona, 1881. Le Sergent Rutledge, soldat noir, est accusé du viol d'une jeune fille blanche et du meurtre de son père. Il est alors jugé en cours martiale. Qui de l'accusation, qui dresse un portrait accablant et raciste du sergent, ou de Mary Beecher, seul témoin à décharge, saura convaincre le juge et faire éclater la vérité ? |
Sortie ciné : 26 octobre 1960 Box office France: 1 475 563 entrées cinéma |
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