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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray House of Gucci):
"Le film, inspiré du livre La Saga Gucci de Sara Gay Forden paru en 2001, s'attache davantage à la psychologie des protagonistes plutôt qu'à décrire le monde de la mode (à peine quelques extraits de défilés montrés, par exemple). L'appât du gain et du pouvoir auront-ils raison des liens du sang ? " Abus de Ciné - Jean-Sébastien Cau "À la fois saga familiale, thriller, romance et récit d'un fait divers sanglant qui a secoué l'Italie, House of Gucci, dont les 2h37 passent presque trop vite, est de ces films qui donnent l'impression, à chaque plan, d'assister à quelque chose de gigantesque." Le Parisien - Renaud Baronian "Passion, jalousie, trahison, et vengeance sont au menu de ce long-métrage divertissant. House of Gucci, c'est aussi un défilé de tenues grandioses, qui participent pleinement à l'intrigue et à l'authenticité de l'atmosphère visuelle." CNews - Chloé Ronchin "Ridley Scott met en scène l'ascension et le déclin de cette famille indissociable de l'univers du luxe, en se concentrant sur Patrizia, interprétée avec superbe par Lady Gaga." La Croix "Lady Gaga et Adam Driver sont les atouts majeurs du film (...), incarné par une pléiade de stars (Jared Leto, Al Pacino, Jeremy Irons)." 20 minutes "Alors que Pacino et Irons sont réellement splendides en vieilles bêtes agonisantes, voilà que débarque Paolo, le fils raté, artiste de très mauvais goût convaincu d'être un génie - et joué jusqu'à l'irritation par un Jared Leto surmaquillé et surcabotin (...). Et si c'était voulu ? L'acteur-escroc joue un designer-escroc ? Idée géniale de cinéma ou bullshit ? C'est le problème du film de ne pas réussir à théoriser tout ça clairement, pour n'être qu'une farce noire hésitant entre le grotesque vintage d'American Bluff et la noirceur terrible des meilleurs Scott récents comme Cartel. Mais House of Gucci n'est pas assez bien écrit pour supporter la comparaison avec Cartel, et se repose sur le jeu de son casting. A part Leto, rien à dire sur les performances du casting." Première - Sylvestre Picard "Sur le papier, House of Gucci est porté par une ambiguïté fascinante, celle d'un portrait de femme qui oscille entre vénalité et soif de respect. Malheureusement, cette dimension féministe se voit dynamitée par le systématisme avec lequel Scott filme Lady Gaga et son accent italien à couper au couteau. L'actrice a beau se démener pour donner corps à un personnage qui perd pied, elle se voit réduite à une marionnettiste, tirant dans l'ombre les ficelles au gré de scènes répétitives et didactiques." Ecran large - Antoine Desrues "House of Gucci est un projet mal dégrossi, qui enquille ses séquences sans entrain, le tout sur une durée franchement déraisonnable de 2h40. Là où les pires films récents de Scott avaient au moins le mérite de jouir d'une technique irréprochable, le cinéaste a mis son formalisme au placard pour des suites interminables de dialogues filmés en champ-contrechamp avec du multi-cam." Ecran large - Antoine Desrues "House of Gucci n'est pas la grande fresque espérée sur la mode, et c'est peut-être mieux. En roue libre totale, Ridley Scott offre sa grande farce tragi-comique, sorte d'OVNI outrancier où chacun joue sa propre partition, à l'image des membres de cette famille totalement incompatible. Une bouffonnerie trop longue mais au ridicule savoureux ! " Ecran large - Alexandre Janowiak |
Synopsis usuel:
L’histoire vraie de l’empire familial qui se cache derrière la célèbre marque de luxe italienne, Gucci. Sur plus de trois décennies de passions, trahisons, décadence, vengeance et finalement meurtre, le film met en scène ce que signifie un nom, ce qu’il vaut et jusqu’où une famille peut aller pour reprendre le contrôle. |
Sortie ciné : 24 novembre 2021 Box office France: 791 256 entrées cinéma |
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