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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd Love and Monsters):
"Love and Monsters est une comédie apocalyptique rafraîchissante, sans prétention mais au capital sympathie en béton ! Si vous avez le moral dans les chaussettes, et que vous avez besoin de passer un bon moment, n'hésitez plus : Love and Monsters est d'une générosité monstre ! " Les Chroniques de Cliffhanger & Co "La grande force de Love and Monsters est son scénario original, hyper bien écrit et souvent très drôle (...). Le rythme est excellent et aucun temps mort ni longueurs ne sont ressentis durant les presque deux heures de film. La réalisation est, quant à elle, amusante et énergique, alors que les monstres du titre ne sont également pas piqués des vers puisque les effets visuels, autant pratiques que numériques (d'ailleurs nommés aux prochains Oscars), sont tout simplement magnifiques." Horreur Québec - Pat Houle "Alors que je m'attendais à ce que Love and Monsters soit une réussite au niveau de la comédie romantique et plan-plan du côté horrifique, c'est l'inverse qui se passe. La réalisation de Michael Matthews n'est jamais aussi bonne que quand les monstres sont impliqués. Rien que le premier affrontement est un énorme kif. (...) Certes, le long-métrage paye de sa classification PG-13 empêchant toute décharge d'hémoglobine, mais il n'en reste pas moins terrifiant avec des monstres magnifiquement flippants. Chacune des interventions des créatures (et il y en a un paquet) est un grand moment. Je me suis vraiment régalé et je comprends mieux sa nomination aux Oscars dans la catégorie des Meilleurs effets visuels." Marvelll "Love and Monsters affiche un petit humour de fond plutôt plaisant, tournant en dérision (...) la maladresse du personnage principal, et s'offrant de jolies références (à Tremors comme aux Dents de la mer). Entre effets de surprise liés aux épreuves à affronter et à une émotion qui jaillit soudainement par deux fois, Love and Monsters offre sans doute un point de départ à une franchise exploitable sur le long terme." Abus de Ciné - Olivier Bachelard "Le film révolutionne t'il le genre du film d'aventures de science-fiction dans lequel il s'inscrit, comme un Bienvenue à Zombieland, ouvertement destiné à un public plus ado ou plus familial ? Répondre par l'affirmative serait mentir. Et pourtant au fil de ce récit initiatique qui se déroule sans rebondissements trépidant, ce film possède un charme fou." Première - Thierry Cheze "Si toute la partie survivaliste sur fond de réflexion un brin métaphysique fonctionne sans accrocs, avec même quelques belles surprises et sueurs froides, on émet quelques réserves sur le dernier tiers du film, qui accuse un coup de mou avec un fake happy ending et un rebondissement ultime qui nous a fait froncer les sourcils. Qu'à cela ne tienne, la résolution de ce dernier acte reste plus que satisfaisante, et le dénouement a su nous combler." Les Chroniques de Cliffhanger & Co "Le scénario repose sur le concept classique du récit initiatique présenté sous forme de quête. Dès lors, l'intérêt ne réside pas tant dans la destination que dans le périple. C'est tant mieux, car, à vrai dire, le troisième acte s'avère le plus prévisible et donc le moins intéressant. (...) Il n'empêche, on a le sourire aux lèvres pas mal tout du long. (...) Joel est par surcroît un héros sympathique, même dans ses failles et ses travers." Le Devoir - François Lévesque "Trompant son titre faussement superficiel par une générosité sans bornes à la vue de ses maigres moyens, cochant toutes les cases de la quête initiatique (apprendre la valeur de l'amour, du courage et de la confiance,...), au sein d'un monde apocalyptique hostile et jouissif qui dynamise sans cesse (même avec des CGI parfois ridicules) un récit qui s'évertue à ne jamais totalement quitter les sentiers battus - un défaut comme une qualité - Love and Monsters est un joli coming of age movie aux allures de conte moderne, où la chance d'avoir un baiser tant espéré de sa bien aimée est tellement important, qu'il vaut de vivre une potentielle attaque de grenouille géante ou d'autres insectes gluants." Fucking Cinéphiles "Version pop fun d'une apocalypse où l'humour a pris le dessus sur l'horreur, Love and Monsters évoque les souvenirs des malheureux Bienvenue à Zombieland, Warm Bodies et Pride and Prejudice and Zombies." CinéDweller "Love and Monsters est un divertissement passable à consommation télévisuelle qui ne nécessite aucune concentration. Les effets spéciaux y sont laids et Dylan O'Brien n'y a aucun charisme. (...) L'acteur confirme que tous les âges n'inspirent pas la même cinégénie. L'insouciance adolescente a disparu, la maturité de l'âge adulte n'y est pas encore. L'acteur est dans l'antichambre, l'entre-deux, comme le film qui n'a aucun respect pour son audience (...). (...) Dans un casting unilatéralement mou, Jessica Henwick, dulcinée du jeune héros (...), est une faute de casting. Elle n'existe pas, se contentant d'être une figure nunuche." CinéDweller |
Synopsis usuel:
Dans un monde infesté de monstres, Joel apprend que sa petite amie n’est qu’à 130 km. Pour faire le dangereux voyage vers la fille de ses rêves, Joel devra faire preuve d’un courage héroïque. |
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