|
|
|
vod
dvd
|
|
Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie dvd La Petite Femelle):
"Pauline Dubuisson, une jeune femme mystérieuse, est suspectée d'avoir assassiné de sang-froid son amant, un garçon de la bourgeoisie lilloise. Qui était vraiment cette héroïne funèbre, désignée à l'époque par l'opinion publique comme une « garce » et « l'incarnation du mal » ? (...) La « petite femelle », telle que la filme avec une sensibilité aiguë Philippe Faucon, choque une époque corsetée dans le conformisme et le machisme. Une époque qui étrille cette femme évidemment jugée comme immorale. Le cinéaste met en scène le rude combat pour l'affranchissement de Pauline, seule ou presque contre tous." Les Echos - Olivier De Bruyn "Philippe Faucon évoque ce parcours de femme en quête d'émancipation avec une délicatesse et une sensibilité qui donnent tout son prix à ce (télé)film bouleversant." Marianne - Olivier De Bruyn "Avec une sobriété extrême et le même sens de l'épure que pour ses films de cinéma, Philippe Faucon met en scène l'itinéraire tragique de Pauline et, à travers ce destin singulier, donne subtilement à voir certaines ambiguïtés délétères des années d'après-guerre." Marianne - Olivier De Bruyn "La Petite Femelle est une adaptation télé du livre éponyme de Philippe Jaenada." Bulles de Culture "Du récit de Philippe Jaenada, paru en 2015 (...), Philippe Faucon fait un film d'une sobriété émouvante." Le Monde - Thomas Sotinel "Philippe Faucon tente de relater la véritable histoire de Pauline Dubuisson, loin du drame rocambolesque d'Henri-Georges Clouzot et de la prestation de Brigitte Bardot dans La Vérité, mais signe un film d'un académisme froid." Les Inrocks "Philippe Faucon signe pour la télé un film juste où il s'attache à décrire un quotidien observé sans détours et dresse le portrait d'une femme libre et féministe, loin des trémolos de Brigitte Bardot dans le film de Clouzot." Libération |
Synopsis usuel:
Novembre 1953. Pauline Dubuisson est accusée d’avoir tué de sang-froid son amant. Mais qui est donc cette jeune femme dont la France entière réclame la tête ? Une arriviste froide et calculatrice ? Un monstre de duplicité qui a couché dans le lit de l’Occupant, a été tondue, avant d’assassiner par jalousie un garçon de bonne famille ? Ou n’est-elle, au contraire, qu’une jeune fille libre qui revendique avant l’heure son émancipation et questionne la place des femmes au sein de la société ? |
|
|