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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie Prison Heart):
"Prison Heart est un solide drame carcéral, à l'atmosphère tendue et aux personnages bien croqués." Télé Loisirs "Les films bulgares ne sont pas courants. Celui-ci épate par sa maîtrise à tous les niveaux." Canal+ - Télécâble Sat "En tant que Bulgare, j'ai toujours été, disons-le gentiment, d'accord avec le fait qu'il n'y a pas beaucoup de cinéma dans notre pays. Mais cette fois, j'ai été stupéfait et étonné. Un travail étonnant, honnêtement, c'est l'un des meilleurs films bulgares dont j'ai été témoin. L'histoire est absolument captivante (...). Il ne s'agit pas d'une intrigue à rebondissements, mais honnêtement, le fiml n'en a pas besoin : il raconte l'histoire de prisonniers ordinaires et ce qui se passe dans leur monde, ce qu'ils recherchent, ce qu'ils croient et ce qu'ils souhaitent profondément pour chacun d'entre eux (...)." Imbd - simeon_mihalkov "Le scénario aurait pu être plus intriguant et un peu plus rapide, car cela m'a fait penser à un feuilleton, surtout dans les 40 dernières minutes. C'est un peu ennuyeux à la fin." Imbd - peter_zabov "Le scénario est décent, mais la mise en scène médiocre, avec un travail de caméra un peu raté (excellent plan de fin cependant). Le son est terrible (comme si je regardais une copie pirate, enregistrée dans une salle de cinéma). Le pire, ce sont les dialogues. Terriblement peu convaincants, comme s'ils étaient traduits de l'anglais au bulgare. Les seuls mots qui semblaient naturels dans la bouche des acteurs sont les jurons. D'autre part, tout ceci a été tourné en 21 jours avec un budget quasi nul. Ils ont même oublié de mentionner que le film est basé sur une histoire réelle ( ! )." Imbd - whotheff |
Synopsis usuel:
En 1978, Boris Radulov, surnommé le Bohémien, est un des nombreux détenus qui purgent leur peine tout en travaillant dans dans l'usine métallurgique de Kremikovtzi, en Bulgarie. Arrivé à la prison de Sofia en 1971, Radulov a peu à peu appris à comprendre les règles et les dangers de la dure vie en prison. Désormais considéré comme un «prisonnier important», il se méfie néanmoins de Vekilski, un gardien de prison particulièrement cruel avec les détenus. Il comprend également qu'il a tout intérêt à faire partie des détenus envoyés travailler dans l'usine de Kremikovtzi, qui redonne pendant quelques heures aux détenus un semblant de vie normale. |
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