Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray La Vieille fille):
"Humour bon enfant, critique amusée de la société de consommation, présence d'une pléiade d'acteurs de haut vol (...), éloge souriant des amours de vacances (...) un demi-siècle après sa sortie, le film reste un joli instantané de la France de Pompidou. (...) Annie Girardot excelle dans le rôle (...), restant en équilibre entre la caricature et l'émotion."
L'Obs - François Forestier
"Nous ne sommes pas dans la comédie débridée mais une comédie pointilliste, où l'on sourit plus que l'on ne rit sur la façon dont deux solitudes vont finir par s'accepter."
Rue du Ciné
"Un premier film. A l'écart de la politique, de la violence, de l'érotisme. La simple chronique d'une « rencontre » de vacances entre deux personnages modestes. (...) Jean-Pierre Blanc joue sur le double registre de la cocasserie et de la tendresse."
Le Monde, 1972 - Jean de Baroncelli
"C'est Camping avant l'heure : on parle de choses insignifiantes, on se débrouille pour un rab de dessert, on fait des excursions en mer, on bronze sur la plage, on drague entre voisins, dans une ambiance bon enfant un peu vulgaire et un tantinet déjantée."
L'Obs - François Forestier
"Il y a un hiatus parfois gênant entre le style caricatural adopté par Jean-Pierre Blanc pour dépeindre ses vacanciers et la sincérité, la justesse de ton, dont il fait preuve quand il suggère le timide rapprochement de ses deux héros. A la drôlerie un peu forcée des clins d'œil satiriques et des parenthèses burlesques, nous préférons la subtilité des scènes où l'humour laisse transparaître la gravité et la mélancolie du sujet."
Le Monde, 1972 - Jean de Baroncelli
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Synopsis usuel:
Gabriel, la quarantaine, débarque dans un petit hôtel de Cassis à la suite d’une panne de voiture. Il fait la connaissance de Muriel, une femme de trente-cinq ans, effacée, un peu sauvage. Ils se lient peu à peu d’amitié. À la fin des vacances, Muriel glisse timidement son adresse à Gabriel.
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