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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie dvd Il était une fois Palilula):
"Il était une fois Palilula est une fresque baroque et fantasque d’un monde ancien baigné de communisme et de barbarie qui n’a pas dit son dernier mot. Un véritable exercice virtuose de cinéma." Avoir Alire "Accompagné d’une très belle bande son, ce film original, plastiquement très réussi et parsemé de moments fous, drôles ou inquiétants, nous emmène dans un voyage insolite parfois hilarant et parfois déstabilisant." Le Bleu du Miroir - Eric Fontaine "Ce qui émerveille au plus haut point dans ce film demeure la mise en scène qui se marie avec brio aux mouvements de caméra et à la musique. Parfois, on a presque le sentiment de s’envoler dans un ballet ou une scène d’opéra que la cruauté des protagonistes corrompt. Silviu Purcărete joue avec les costumes, les dialogues, les maquillages, et tout finit par ressembler au vaste théâtre du monde, bouleversé par ses guerres, ses stratégies politiques et ses traditions d’un autre temps, en dépit d’une direction d’acteurs qui allie rires et fantaisies. Il était une fois Palilula constitue un jeu à l’infini de théâtre dans le théâtre (...)." Avoir Alire - Laurent Cambon "Entre rire et malaise, difficile de rester indifférent à ce film inclassable et mystérieusement resté quasiment invisible en France jusqu’à maintenant – il avait seulement été diffusé dans le cadre de l’Etrange Festival en 2021." Le Bleu du Miroir - Eric Fontaine "Le tout est foisonnant et on appréciera en particulier la poésie apportée par les petits récits intermédiaires, histoires racontées mettant en avant un personnage en particulier (l’homme poursuivi par un loup, le trafiquant de grenouilles avec les Italiens, la perdition dans un cabaret, l’histoire d’adultère...), mais dont on peine à trouver le sens global. Restent quelques saillies réjouissantes, critiquant le régime ou la société de l’époque (...)." Abus de Ciné - Olivier Bachelard "Chaque personnage semble plus ravagé que le précédent, transformant les lieux en agapes permanentes, asile, sanatorium. Une folie pas toujours douce que son metteur en scène(s) décline plus souvent qu’à son tour avec des accents felliniens ou une loufoquerie destructrice que n’aurait pas reniée un certain Kusturica. Enivrant jusqu’à la gueule de bois…" Rolling Stones - Xavier Bonnet "Virtuose dans sa mise en scène, cette fresque finit par tourner à vide." Abus de Ciné - Olivier Bachelard |
Synopsis usuel:
Roumanie, années 1960. Serafim, un jeune diplômé de la faculté de médecine, est amené par un sombre caprice du destin à Palilula, une ville fantôme, perdue au milieu de la plaine vallahienne. Une zone de quarantaine, un sanatorium, un hôpital improbable, une clinique gynécologique où jamais aucun enfant n’est né. On peut arriver à Palilula mais pas en repartir. On ne sait jamais si ses habitants mentent, rêvent ou vivent réellement. Le jeune docteur Serafim ne pourra pas exercer son métier de pédiatre, dans cette ville sans enfant. Il se noiera dans le miel doux et empoisonné du lieu, comme une mouche attrapée par une grenouille. |
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