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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie La Vie devant Soi):
"Adaptation un peu timide du roman d'Emile Ajar, La Vie devant Soi vaut surtout le détour pour l'interprétation magistrale de Simone Signoret au sommet de son talent. Elle illumine l'écran de sa seule présence." CinéDweller - Virgile Dumez "Le rôle [tenu par Simone Signoret] nécessitait une importante prise de poids, des tenues peu avantageuses, et un assortiment de trucages (vieillissement du visage, rembourrage aux jambes, coton dans les joues). Trucages dont on n'a guère conscience tant Signoret livre une performance remarquable, saluée à raison par un César." Le Devoir - François Lévesque "Porté par l'interprétation dantesque d'une Simone Signoret impressionnante, La Vie devant Soi est sans doute trop sage dans sa réalisation qui ressemble à s'y méprendre à celle d'un téléfilm. C'est le plus gros défaut de cette œuvre pourtant puissante et qui émeut par la puissance de conviction de son interprète principale." CinéDweller - Virgile Dumez "La saveur, le pouvoir émotionnel du roman d'Emile Ajar était dû, pour l'essentiel, à son langage. Langage emprunté au monologue intérieur de Momo et qui en reflétait (de manière très concertée et très élaborée), la naïveté, le débraillé grammatical, les pataquès et les lapsus saugrenus. Le style de ce gavroche de la Goutte-d'Or en faisait un cousin de Zazie. Pour Moshe Mizrahi, la facilité eût été de conserver, grâce à un commentaire en voix « off », cette richesse et ce pittoresque verbal. Craignant peut-être que le procédé ne lasse le spectateur, Mizrahi a préféré la narration objective et le réalisme des images au pouvoir explosif des mots. On le regrette dans la mesure où la musique, la cocasserie du livre ne subsistent que dans certaines répliques et où, ainsi dénudée, réduite à la simple anecdote, l'histoire perd à la fois de son originalité et de son intensité dramatique." Le Monde, 1977 - Jean de Baroncelli |
Synopsis usuel:
Madame Rosa, la soixantaine bien sonnée, est une ancienne prostituée qui vit au dernier étage d'un immeuble vétuste de Belleville. En dépit de ses jambes usées et de son cœur malade, cette rescapée d'Auschwitz élève pour quelques sous les enfants des tapineuses. Parmi eux, Mohammed, dit Momo, un adolescent tendre et révolté qui cherche en vain à connaître le secret de sa naissance. Débrouillard et sensible, il aide dans les tâches ménagères la vieille dame dont l'état de santé se dégrade. Celle-ci fait promettre à Momo de ne jamais finir sur le trottoir. |
Sortie ciné : 2 novembre 1977 Box office France: 1 977 455 entrées cinéma Oscar du meilleur long métrage en langue étrangère. |
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