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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd Bolero):
"Au prétexte de décrire la genèse d’une des œuvres musicales dont le succès n’a fait que s’amplifier depuis 1928, année de sa création, c’est le portrait attachant d’un artiste, emberlificoté dans les mailles d’une nostalgie assumée et la recherche d’un bonheur inaccessible qui nous est proposé." Avoir Alire - Claudine Levanneur "Raphaël Personnaz qui tient le rôle de Maurice Ravel impressionne par son jeu d’acteur. On en viendrait à douter qu’il joue tellement il est habité par son rôle." Abus de Ciné - Raphaël Convers "Anne Fontaine réussit à faire éprouver la manière dont Ravel ressentait physiquement la musique. Raphaël Personnaz séduit, lui, par sa composition traduisant parfaitement l’effacement de celui que le monde allait ensuite célébrer." Première - Thierry Chèze "Raphaël Personnaz, délesté d’une dizaine de kilos, prête sans fadeur ses traits presque encore adolescents à ce personnage aussi tourmenté qu’émouvant, tandis que la gent féminine, de Doria Tillier dont la sensualité n’est plus à démontrer, à la facétieuse Jeanne Balibar qui n’a pas son pareil pour nous entraîner dans une fabuleuse séquence dansée, ou l’impeccable Emmanuelle Devos, conjugue charme et énergie. Librement adapté de la biographie de Maurice Ravel, ce film sans fausse note s’enveloppe d’un romantisme raffiné pour se mettre à la portée de tous les spectateurs curieux de musique classique sans avoir osé l’aborder." Avoir Alire - Claudine Levanneur "Si le film se perd dans sa dernière partie, son casting impeccable lui donne toute sa chair." Paris Match - Fabrice Leclerc "Anne Fontaine s’intéresse cette fois à une figure historique majeure du monde de l’art qui met tout le monde d’accord : Maurice Ravel, le célèbre créateur du Bolero. Ou comment le compositeur a révolutionné la musique classique en imaginant une mélodie devenue l’un de ses plus grands « tubes ». Tout le monde connaît le Bolero et son rythme sensuel et entêtant. Classique, rock, métal, flûte de pan ou guitare sèche, musique orientale, version asiatique ou flamenco, le Bolero est l’un des airs les plus joués et revisités dans le monde." Mondociné - David Huxley "Si le comédien convainc dans le rôle du compositeur, le film d’Anne Fontaine, lui, laisse sur un sentiment frustrant d’inabouti. (...) Les premières images du générique, laborieux montage vidéo de reprises tous genres confondus - parfois ad nauseam - du thème du Boléro, donnent la couleur : celui d’un film qui ne va nulle part." Le Figaro - Thierry Hillériteau "Si Maurice Ravel a composé un chef-d’oeuvre, on ne peut pas en dire autant d’Anne Fontaine avec le film qu’elle en tire. Avait-on besoin d’un long-métrage de cinéma pour raconter ce que bien des documentaires ont raconté avant lui ? (...) Anne Fontaine a voulu raconter une histoire qui tient en réalité en quelques anecdotes (le Boléro était une commande de la danseuse Ida Rubinstein, Ravel a galéré pour trouver l’inspiration et il n’était pas convaincu par le génie de sa création). Très clairement il n’y avait pas matière à un film de cinéma (...). Deux heures à ressasser les images d’un Ravel qui cherche l’idée et qui ne la trouve pas, c’est maigre. Maigre et surtout très long. Bolero répète en boucle les mêmes scènes, comme la musique de Ravel répète en boucle le même air. Sauf que si Ravel enivre, Anne Fontaine ennuie. Son Bolero manque cruellement de consistance et tourne en rond sur lui-même." Mondociné - David Huxley |
Synopsis usuel:
En 1928, alors que Paris vit au rythme des années folles, la danseuse Ida Rubinstein commande à Maurice Ravel la musique de son prochain ballet. Tétanisé et en panne d’inspiration, le compositeur feuillette les pages de sa vie - les échecs de ses débuts, la fracture de la Grande Guerre, l’amour impossible qu’il éprouve pour sa muse Misia Sert… Ravel va alors plonger au plus profond de lui-même pour créer son oeuvre universelle, le Bolero. |
Sortie ciné : 6 mars 2024 Box office France: 414 815 entrées cinéma |
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