Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie Comment je suis devenu super-héros):
"Les personnages se révèlent formidablement attachants. (...) Benoît Poelvoorde use ici de son aura mélancolique avec un mélange de truculence et de tristesse rarement vu dans le genre, quand Vimala Pons impose une rugosité espiègle qui répond toujours idéalement à la palette de jeu faussement désinvolte de Pio Marmaï."
Ecran large - Simon Riaux
"Comment je suis devenu super-héros n’a pas vocation à aller marcher sur les plates-bandes du mastodonte Marvel ou de son concurrent DC Comics. L’évidence étant mise sur la table, le premier long-métrage de Douglas Attal réussit son pari et transpose la mythologie du surhomme dans un environnement beaucoup plus identifiable pour le spectateur : le Paris d’aujourd’hui. Mieux, il inscrit le super-héros dans un quotidien beaucoup plus classique que ceux de Clark Kent et autre Bruce Wayne : ici, les super-héros sont coachs et aident les jeunes des quartiers (...)."
Actu Val-de-Marne - David Leduc
"Même si nous sommes ici dans le domaine du fantastique, (...) on retrouve le look des séries policières avec la traditionnelle dualité policier-policière où la femme fait sa place en dépit de la résistance du collègue masculin. "
La Presse.ca - André Duchesne
"Ludique, émotionnellement spectaculaire et toujours enraciné dans les conflits humains qui le mettent en mouvement, Comment je suis devenu super-héros se paie même le luxe de faire oublier ses quelques réels défauts. En effet, les rares bastons physiques semblent précipitées, trop hachées. Un regret notable tant l’héroïne que campe Leïla Bekhti promettait de sauvages tatanes. De plus, certaines sous-intrigues manquent un peu d’ampleur (...), quand elles ne se retrouvent pas secouées un peu grossièrement pour nous accompagner jusqu’au dernier acte du long-métrage. Et pourtant, l’électricité de l’ensemble triomphe (...)."
Ecran large - Simon Riaux
"Même si on sent parfois les acteurs perdus dans leurs combinaisons moulantes et si certains rebondissements se révèlent assez prévisibles, l’humour référencé de Comment je suis devenu super-héros et son côté franchouillard assumé (...) constituent les bonnes surprises du film. C’est aussi sa limite. (...) on reste un peu sur sa faim. Sans doute parce que dans l’expression « film de superhéros français », le mot « français » finit par primer sur tout le reste."
Première - Nicolas Bellet
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Synopsis usuel:
A Paris, les super-héros sont bien intégrés dans la société. Mais lorsqu'une drogue se répand qui donne également des superpouvoirs aux mortels normaux, tout devient hors de contrôle. La police doit arrêter le chaos avec l'aide de deux super-héros.
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