Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd Paradis Paris):
"Marjana Satrapi s’entoure d’un casting monstre – Monica Bellucci, Rossy De Palma, Ben Aldridge, André Dussollier, Roschdy Zem, Alex Lutz… Cette belle mosaïque d’acteurs, la cinéaste l’utilise pour construire un film choral où seul un élément relie les personnages entre eux : la mort."
Première - Lucie Chiquer
"Les amateurs de cinéma bien ordonné rechigneront à se lancer dans ce jeu de l’oie parisien. Mais les rêveurs, les débonnaires et les hédonistes tomberont amoureux de ce puzzle facétieux et mélancolique, emporté par une joyeuse troupe d’actrices et d’acteurs."
L'Obs - Xavier Leherpeur
"Marjane Satrapi s’essaye à plusieurs registres dans ce film choral bancal qui s’essouffle assez vite, malgré des intentions louables et de bons acteurs."
Avoir Alire - Gérard Crespo
"Le film devient surtout gênant dans les séquences où une adolescente tourmentée (Charline Balu-Emane) fait tourner en bourrique son ravisseur. Ne parvenant pas à assurer la jonction entre le burlesque et le tragique, le premier et le second degré, Marjane Satrapi signe au final un long métrage maladroit à la morale édifiante (la vie, c’est quand même mieux que la mort)."
Avoir Alire - Gérard Crespo
|
|
Synopsis usuel:
Ex-star de l’opéra, Giovanna fulmine : alors qu’elle a été déclarée morte par erreur, les hommages de la presse tardent à venir. Mike, cascadeur anglais, peut-il décemment trembler devant la mort alors qu’il la défie tous les jours ? Fumer tue, mais Dolorès s’en fout : le jour des 15 ans de sa petite-fille, elle passe unilatéralement un pacte avec Dieu. Alors qu’elle essaie de se suicider, Marie-Cerise, ado harcelée, humiliée et déprimée, est kidnappée et va tout naturellement faire de son ravisseur son psy. Edouard, bien qu’il présente depuis des années une célèbre émission criminelle à la télé, accuse le coup quand sa mortalité se rappelle à lui.
Dans les rues vivantes et cosmopolites de Paris, ces destins s’entremêlent et se répondent, connectés les uns aux autres par des figures universelles du quotidien : une femme de ménage, un flic, un cafetier. Et si, face à la mort, le mieux était encore de vivre ?
|