Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray The Bricklayer):
"Certes, le scénario sent le réchauffé, le duo de barbouzes va d’abord s’entendre comme chien et chat avant de tourner comme larrons en foire (mais sans finir au lit), et la scène qui règle le sort de Radek est complètement invraisemblable (…). Mais pour le reste, il faut reconnaître qu’on ne s’ennuie pas une seconde, Harlin alignant combats vicieux et canardages en tous genres qui font plus penser à John Wick qu’à « Navarro » [série télé policière]."
Le Parisien - Michel Valentin
"Aaron Eckhart est convaincant dans le rôle de Steve Vail, mais au delà de tout ce que le film entreprend, tout est assez mauvais ou mal fichu. The Bricklayer utilise tous les poncifs du film d’action des années 2000 sans chercher à lui apporter une once d’originalité."
CCS - delromainzika
"On finit par se demander ce que l’on fait là et on s’ennuie terriblement. Nina Dobrev (The Vampire Diaries) ne fait rien de particulièrement séduisant non plus dans la peau de son personnage. Si j’avais aimé l’actrice dans la série de vampires, elle est aussi mauvaise. Elle n’apporte aucune nuance à son personnage et ne partage aucune alchimie avec notre héros."
CCS - delromainzika
"L’intrigue, bien loin du fantasme du Grand Orient et des loges maçonniques, est d’une incroyable stupidité : l’idée que le monde risque de s’effondrer, si un obscur ministre grec prouve l’implication de la CIA dans une série d’assassinats, nous laisse interdit. N’est-ce pas là toute l’histoire de la CIA ? On se demande ce qu’Aaron Eckhart est venu faire dans cette galère et on souffre pour Nina Dobrev, dont le personnage a la vivacité intellectuelle d’un mur en pierre sèche."
Télérama - Joseph Boinay
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Synopsis usuel:
Steve Vail, ancien agent du FBI, est devenu maçon à Chicago. L’Agence se voit contrainte de faire appel à lui pour localiser et combattre un groupe de criminels. Ces derniers exigent une série de rançons dont chacune s’élève à plusieurs millions de dollars.
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