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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie dvd La Grande Java):
"La Grande Java est une splendide métaphore de la joute électorale comme mêlée de rugby. Variation sur le thème de Clochermerle tout autant que Grand Oeuvre des Charlots, La Grande Java est un film-somme, contenant en germe toute la démence philippeclairesque seventies et utilisant Les Charlots au maximum de leur potentiel. " Nanarland "Francis Blanche est très efficacement épaulé par Les Charlots, dont Philippe Clair a su utiliser à merveille la capacité à faire absolument n’importe quoi. J’avais écrit dans une chronique plus ancienne que Les Charlots étaient totalement dépourvus de consistance : je dois ici manger mon chapeau. Passés à la moulinette de la direction d’acteur philippeclairienne, les cinq gugusses se révèlent des zébulons totalement délirants et frénétiques (...)." Nanarland "Gérard Rinaldi est le malin romantique tandis que les autres jouent les catastrophes ambulantes, de quoi alimenter la cascade de gags gros comme des maisons, de personnages bêtes comme leurs pieds, pas aidés par des dialogues pas fute-fute non plus. Sauf que le film va faire un carton et décider durablement les Charlots à continuer sur cette voie (...)." Nawakculture "La Grande Java parvient quand même à être drôle comme un certain nombre d’ancêtres muets qui ne nécessitaient pas d’effort particulier sinon les gestuelles et les grimaces, on y ajoute des coiffures et tenues pas tristes, l’humour franchouillard qui ne recule pas devant l’accent germanique et la moustache carrée sous le nez, les bagarres comiques avec les bruitages cartoon ce qui a pour résultat de montrer un joyeux boxon typique d'une époque à la légèreté au moins de façade, on note une série de scènes au moins cultes (...), mais ne sont pas les Tonton flingueurs qui veut, tandis que le curé pas commode avec l'accent pied-noir légèrement exagéré ramène le film en territoire nanar." Nawakculture |
Synopsis usuel:
Cinq rugbymen spoliés par leur entraîneur-déserteur Auguste Kouglof retrouvent sa trace à Brizouille, un petit village des Landes. Désormais connu sous le nom de Colombani, Kouglof/Colombani tente de briguer les mandats électoraux en usant de pratiques mafieuses. Mais c’est sans compter sur la détermination des Charlots empêcheurs de tourner en rond qui s’allient à Monsieur Devot, seul concurrent de Colombani pour remporter le poste tant convoité. |
Sortie ciné : 13 janvier 1971 Box office France: 3 385 636 entrées cinéma |
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