|
|
|
vod
dvd blu-ray
Téléchargez légalement en location vod sur videofutur
|
|
||||||||||||||||||||||
Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Le Samouraï):
"Le Samouraï est un un chef d'oeuvre de sobriété, probablement l'un des films policiers français les plus cultes et mythiques." Paper Blog "Le Samouraï n'est pas seulement le point culminant de l'oeuvre de Melville, ni même un simple chef-d'oeuvre du film noir à la française. Le Samouraï est plus que tout cela : c'est une synthèse, un pivot : tout ce qui a précédé mène à lui, ce qui suivra en découlera." Dvd Classik "Le Samouraï a influencé des générations de cinéastes, de John Woo (The Killer) à Jim Jarmusch (Ghost Dog, la voie du samouraï), en passant par Michael Mann (Heat) et Quentin Tarantino." Abus de Cine "On retrouve toujours chez Melville ces personnages solitaires et cet univers sombre et cruel." In The Mood For Cinema "Melville excelle avec une mise en scène originale et un scénario palpitant. Le personnage glacial qu'incarne Delon et le sarcastique commissaire de police créent un climat angoissant et mystérieux." L'Oeil sur l'Ecran "Lorsqu’il débarque sur les écrans le 25 octobre 1967, tout apparaît nouveau dans Le Samouraï, à commencer par les couleurs du film, monochromatiques, ternes, tristes, en phase avec la mélancolie de son personnage principal. Depuis, Le Samouraï est devenu l’une des matrices du film criminel (...). Les clairs-obscurs du Parrain, de Francis Ford Coppola, assurés par son directeur de la photo, Gordon Willis, doivent beaucoup à ceux imaginés par Jean-Pierre Melville." Le Monde - Samuel Blumenfeld "On est dans un pur univers cinématographique, reconstitution de toutes pièces de lieux et de décors qui n’existent pas, et surtout pas en France. Melville, quand il ne filmait pas dans la rue, recréait dans ses studios de la rue Jenner – dans le treizième arrondissement de Paris – des commissariats ou des clubs de jazz qui n’existaient pas et qui ne ressemblaient à rien de connu. D’où un monde totalement artificiel mais nullement superficiel. Melville ne recherche pas le réalisme, mais recycle un héritage du film noir américain pour créer sa propre mythologie cinématographique du film policier. La scène du tapissage, par exemple, est révélatrice. Ce type de procédure paraît totalement étrangère au monde judiciaire français et on y voit des suspects scrutés par des témoins qui doivent les reconnaître ou non, sans aucune mesure de protection ou de discrétion." Le bleu du miroir - Eric Fontaine "C’est principalement dans la mise en scène et le montage que Le Samouraï montre de grandes qualités, faisant en sorte que les images, les couleurs et les expressions dialoguent directement avec le spectateur, permettant au film et à Delon d’être taiseux et pourtant si expressifs." A la rencontre du septième art "On a ici une réalisation qui fait la part belle à l’épure, à l’abstraction. Il ne faut chercher nul réalisme. Certains esprits chagrins reprochèrent à cette histoire ses ellipses et ses incohérences. Ceci n’a pas véritablement d’importance aux yeux des amateurs de cette oeuvre qui, comme les autres films de Jean-Pierre Melville, n’a rien de réaliste." Le bleu du miroir - Eric Fontaine |
Synopsis usuel:
Jeff Costello, dit le Samouraï est un tueur à gages. Alors qu'il sort du bureau où git le cadavre de Martey, sa dernière cible, il croise la pianiste du club, Valérie. En dépit d'un bon alibi, il est suspecté du meurtre par le commissaire chargé de l'enquête. Lorsqu'elle est interrogée par celui-ci, la pianiste feint ne pas le reconnaître. Relâché, Jeff cherche à comprendre la raison pour laquelle la jeune femme a agi de la sorte. |
Sortie ciné : 25 octobre 1967 Box office France: 1 932 372 entrées cinéma |
|
|