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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd La Grève):
"La Grève est le premier long-métrage de Sergueï Eisenstein et un coup de maître instantané. Un essai visionnaire d'une puissance inouïe." Avoir Alire "La Grève est un stupéfiant Eisenstein. On y trouve déjà tout ce qui fera le génie du cinéaste, notamment l'incroyable dynamisme du montage, véritable dialectique révolutionnaire. Mais plus encore que dans Le Cuirassé Potemkine, les audaces visuelles tiennent ici du feu d'artifice : retours en arrière, surimpressions, juxtapositions symboliques, compositions au bord de l'abstraction, ça foisonne ! " Telerama "Eisenstein pose ici les grandes lignes de son esthétique formaliste et se désintéresse du cinéma d'acteurs pour filmer avec puissance des scènes de foule, captant cette rébellion ouvrière comme un objet purement artistique." Arte TV "Eisenstein s'oppos au cinéma de fiction. Il se propose de "Faire tout à l'envers : abroger l'intrigue, bannir les stars et, en guise de personnage principal, propulser la masse". Il refuse un récit cohérent et une narration clairement compréhensible. Aucun héros n'est mis en avant pour porter le récit. (...) Mais Eisenstein est un adepte des effets appuyés et son cinéma ne sera jamais documentaire." Cine Club de Caen "Que reste-t-il, 84 ans après, de La Grève ? Les chefs d'oeuvre sont-ils vraiment éternels ? En un mot : oui. Avant l'illustre Cuirassé Potemkine, La Grève assure de la virtuosité d'Eisenstein. Rétrospectivement, une telle maturité artistique pour un premier film est bluffante. Le montage nerveux, les angles de vues improbables, les gros plans déformant – déshumanisant – les directeurs de l'usine : La Grève se regarde comme un condensé de modernité cinématographique, une véritable grammaire de ce qui constituera plusieurs décennies plus tard l'essence du cinéma contemporain." Il etait une fois le cinema |
Synopsis usuel:
Dans la Russie tsariste de 1912, La révolte gronde au sein d'une des plus grandes usines du pays. Poussés à bout par des conditions de travail exécrables, les ouvriers ne tardent pas à faire valoir leurs droits en brandissant la menace de la grève. Le suicide d'un ouvrier accusé de vol par la direction déclenche la colère des travailleurs qui s'empressent de descendre dans la rue. Désireuse de mettre au plus vite un terme à ces agissements, sans pour autant céder aux revendications, la direction de l'usine choisit l'affrontement et s'en remet aux troupes gouvernementales qui investissent le quartier des ouvriers. C'est dans un massacre sanglant que le conflit prendra fin. |
La Grève est un film muet en noir et blanc. |
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