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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie dvd et blu-ray Captivity):
"Finalement Captivity n'est pas, ou plutôt pas tout à fait, un « saw-like ». En effet, petit à petit, le métrage prend des allures de thriller classique. (...) Captivity est excessivement pudique dans ses démonstrations horrifiques, préférant mettre en avant une morale bidon mettant à mal le culte de la beauté et de la célébrité." Scifi-Universe - Nicolas L. "Le scénario n'est pas inintéressant mais un peu trop prévisible (on devine invariablement, un bon quart d'heure à l'avance, ce qu'il va advenir de l'intrigue). D'ailleurs, conscient que le script n'a pas la force de conserver longtemps un secret aussi éventé qu'un vieux Pepsi sans risquer de sombrer dans le ridicule, le cinéaste nous dévoile tenants et aboutissants assez tôt, carrément en milieu de métrage. Il permet ainsi à son film de faire un petit tour du coté des polars urbains, fusil à pompe et massacre de flics à l'appui." Scifi-Universe - Nicolas L. "C'est bien connu, Saw a fait office de révolution dans le monde du cinéma d'horreur, ouvrant les portes à un nouveau genre, plus violent et sadique que jamais. Fleurant la bonne odeur des dollars, les producteurs se sont empressés d'en faire tout un tas de suites qui a épuisé complètement le filon. Il était tout aussi naturel que d'autres producteurs s'y intéressent et nous en livrent des ersatz. C'est exactement ce qu'est Captivity, un copier/coller des Saw et de leurs idées." Cinema Fantastique - Dante "Il n'y a rien à retenir de cette série B, ni fun, ni gore, ni sexy. Une très pâle copie de son modèle, porté par des acteurs non dirigés et un réalisateur visiblement en manque d'argent et d'inspiration, à éviter." Cinema Fantastique - Dante "La torture que va subir Jennifer est essentiellement psychologique et très peu physique. La surprise est agréable car le scénario se révèle un peu plus fin que ce que l'on avait espéré au départ et se laisse suivre sans ennui (...). Mais d'où vient le gore alors ? Et bien essentiellement de flash-backs d'anciennes victimes du maniaque qui s'intègrent assez mal à l'histoire." Horreur.net - Geoffrey "C'est dans ce genre de film qu'on constate les dégâts que Saw et ses émules ont causé à l'ensemble du thriller cinématographique : même Joffé s'avère incapable de filmer le moindre plan sans y caser un mouvement tremblotant, un filtre coloré, ou une brusque explosion sonore censée effrayer le chaland. Mais le coup du « bouh ! » ne fonctionne plus depuis des lustres, et il semble aberrant qu'un réalisateur aussi talentueux y plonge tête la première." Abus de Cine "Il est surprenant de retrouver Roland Joffé, le réalisateur de Mission, fresque historique, et La Déchirure, film engagé, au commande d'un film d'horreur tel que Captivity." Guide Rapide "Oubliez les rumeurs d'un film insoutenable, gore, ultra-violent : Roland Joffé tente son come-back avec un Saw du pauvre saumâtre. Carrément minable." Avoir Alire "Les épreuves sont redoutablement débiles (Kim qui se bat contre la lumière et hurle dès qu'elle voit des photos d'elle), (...). Le résultat est un tel échec artistique qu'on n'a pas hésité à véhiculer la rumeur selon laquelle l'opus contiendrait des scènes insoutenables. La seule chose vraiment insoutenable dans ce marécage ? Assister à la mort d'un artiste." Avoir Alire |
Synopsis usuel:
Top Model new-yorkais au sommet de sa gloire, Jennifer Tree est une jeune femme à qui tout sourit. Tous les regards sont tournés vers elle, pour le meilleur et pour le pire... Un soir, Jennifer est suivie dans la rue par un homme qui parvient à la droguer. Commence alors pour elle une horrible descente au coeur de ses pires angoisses. Cloîtrée dans une cellule sordide, son ravisseur l'oblige à regarder des vidéos de femmes torturées, avant de la soumettre elle-même jour après jour à d'horribles sévices. Bientôt, elle découvre qu'elle n'est pas seule à vivre ce cauchemar... |
Sortie ciné : 8 aout 2007 Box office France: 59 708 entrées cinéma |
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