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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Chucky - Jeu d'enfant):
"Chucky, la poupée qui tue, est une figure mythique du cinéma d'horreur des années 80. Ce premier film fut suivi d'une saga commerciale à succès, financièrement très fructueuse." Guide Rapide "Ce premier épisode est particulièrement efficace car bien écrit (le scénario parvient à nous faire facilement accepter cette idée saugrenue de poupée psychopathe) et très rythmé. Et 25 ans après, l'animation de Chucky reste toujours aussi bluffante." Cinema Exterminator "A l'époque, Chucky constitue le monstre le plus élaboré du cinéma en matière de technologie. Le contraste entre ses différentes expressions est étonnant et réussi. (...) Finalement, on ne verra que très peu Chucky en mouvement, sauf dans des moments essentiels et sans exagération. Cette économie dans le voyeurisme de terreur a été très bénéfique et à éviter de faire sombrer l'ouvrage dans la série Z de bas étage." On refait le film "Chucky fait parti de ces grands classiques du cinéma d'horreur, que l'on revoit encore aujourd'hui avec le même plaisir. Osez me dire, vous qui avez vu ce film quand vous étiez petit, que vous n'avez pas flippé votre race après la nuit ? " Cinema Club "Même si le métrage a un peu vieilli et fait quelque fois kitch, il arrive quand même à tenir en haleine du début à la fin grâce à cette enquête policière. Et le récit nous fait même rire, le personnage de Chucky ne se prenant guère au sérieux. Niveau acteur, l'enfant est excellent, on arrive vraiment à s'immerger dans l'histoire grâce à sa performance très réaliste." Avenue de l'Horreur "Jeu d'Enfant commence comme une sorte de thriller fantastique (...). Bien loin de balancer ses effets aléatoirement, Holland distille au contraire l'apparition de sa poupée, véritable star du film, par des procédés, certes ultra usités comme les vues subjectives et les jeux d'ombre, mais terriblement efficaces. Malheureusement, Holland abandonne bien vite ce côté angoissant, fonçant tête baissée dans la facilité. Car comment ne pas tomber dans le grand guignolesque quand on a une poupée qui tue ? Holland se lasse des brèves apparitions de sa marionnette pour nous le balancer en plein champ. D'autant que la personnalité de la poupée est ici très peu exploitée, erreur qui se verra réparée par la suite avec le développement du côté sadique et pince-sans-rire du serial killer haut comme trois pommes." Cinema Fantastique |
Synopsis usuel:
Jeune veuve, Karen Barelay a les problèmes de toutes les mères qui travaillent. Elle doit parfois sacrifier le bien-être affectif de son fils pour les soins de sa vie professionnelle. La télévision devient alors pour Andy une sorte de baby-sitter. C'est pour cela que Karen a décidé d'offrir à Andy pour ses six ans une poupée qui parle : Chucky. La poupée au sourire engageant, à la voix câline a tout pour plaire, elle devient le compagnon et le confident qui manquait à Andy. Mais pourtant, quelque chose de pas normal se produit bientôt et seul Andy détient la clef du mystère de Chucky car les adultes écoutent rarement les petits enfants... |
Sortie ciné : 5 avril 1989 |
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