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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie dvd et blu-ray Samurai 3 - La Voie de la lumiere):
"Dernier opus de la série Musashi adaptée par Inagaki au cours des années 50, La Voie de la Lumiere est le plus mélodramatique de la trilogie. Mais La Voie de la Lumiere demeure vraiment divertissant et à l'image des opus précédents, emprunt d'une aura quasi mystique du film de sabre par excellence." Cinemasie - Xavier Chanoine "Le traitement visuel de cet opus se purifie : le renversant récit de Miyamoto Musashi se simplifie pour devenir aussi délicat qu'un haïku dans La Voie de la lumière. La rage et les cris guerriers sont alors moins assourdissants que le cours paisible d'une rivière, un pétale de pivoine plus meurtrier qu'une plaie sanglante, le vent dans les hautes herbes les rend plus tranchantes que le plus affûté des katanas. Monumental, époustouflant et rythmé aux aléas des batailles à ses débuts, cette fresque tend vers de bouleversants airs contemplatifs qu'on retrouvera plus tard chez Sergio Leone." Panorama Cinema "A chaque film-étape, le souffle de l'épique se fait plus puissant, accompagnant les turpitudes croissantes d'un héros ne connaissant que deux facettes : l'exaltation du combat et une certaine désespérance quand il doit faire face aux lois de l'humanité, bien plus complexes que celle du sabre. La trilogie affine progressivement cette dualité : Musashi combat des centaines d'assaillants dans le premier film, quarante dans le second, un seul dans le majestueux duel final." Les Inrocks "Porté par un Mifune Toshiro visiblement lassé de son personnage, La Voie de la Lumiere n'a plus l'esprit épique et héroïque d'un La Légende de Musashi ou de Duel à Ichijoji, supérieurs en quasiment tous les points car dotés d'une véritable rage alliée au romanesque typique de la saga. Le défaut de cet opus est aussi gros qu'un 30 tonnes américain : les deux personnages féminins ternissent l'image guerrière de la saga de part leur attachement sans limite à Musashi et leur pleurs dignes d'un crêpage de chignon de tout bon drama de base." Cinemasie - Xavier Chanoine "Si l'histoire est des plus intéressantes, il faut reconnaître que la, ou plutôt les, love-story (totalement chastes) de notre héros sont assez datées, pour utiliser un euphémisme ; mais cela est compensé par le charme naturel des deux interprètes féminines principales. L'interprétation est d'ailleurs, tout compte fait, le point fort de la trilogie, même si les "petits rôles" et autre quasi-figurants surjouent grossièrement, comme souvent dans les films asiatiques." psychovision "L'essentiel de cette oeuvre est qu'elle garde ce cachet intéressant et révolu du film de sabre romantique et mélancolique. Ses personnages, grossis et au jeu constamment amplifié, contrastent avec la mollesse des affrontements, filmés presque nonchalamment, comme si ils ne faisaient pas partie intégrante du récit, juste là pour combler les brèches sentimentales et couper court au romantisme exacerbé de l'oeuvre. Le combat final s'avère d'ailleurs particulièrement décevant et mis en scène sans génie." Cinemasie - Xavier Chanoine "Décousue comme jamais, l'intrigue sombre dans l'inutilité. On s'ennuie beaucoup et même la beauté des paysages n'est plus au rendez-vous. Mais ce que tout le monde attendait, c'était le combat final (...). Très mal filmé, il nous refait le coup du travelling puis occulte toute l'action." Iken Eiga "La direction des scènes d'action est un peu stéréotypée et défaillante." psychovision "Ce troisième volet est dans la droite lignée des deux précédents : il bénéficie d'une magnifique image, mais la réalisation est académique et sans aucune implication émotionnelle. Le manque de profondeur des personnages annule la quintessence même de la figure mythique. La contribution de la trilogie au revival du genre du chambara est indéniable et annonce par bien des côtés les futures dérives dans les personnages des rônins voyageurs." Bastian Meiresonne |
Synopsis usuel:
Musashi Miyamoto est défié en duel par un escrimeur très sûr de lui : Sasaki Kojiro. Musashi accepte de se battre avec lui dans un an. |
Sortie ciné : 4 aout 1993 |
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