Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd Brèves de comptoir):
"Le dialogue n'est fait que des « brèves de comptoir », recueillies, durant des années, par Jean-Marie Gourio, mais on croirait inventées les formules. Par exemple : « Mon plus grand chagrin d'amour, c'est que personne ne m'aime. »"
Telerama
"L'adaptation sur grand écran des célèbres brèves recueillies dans les cafés par Jean-Marie Gourio offre une comédie douce-amère qui ne cache pas le drame de la solitude et de l'alcoolisme où il semble bien facile de tomber."
Avoir Alire
"Des pages des recueils de Jean-Marie Gourio aux planches du théâtre du Rond-Point, les « Brèves » ont atterri sur les écrans. Servies cul sec par une armada d'acteurs hilarants, ces aphorismes éthyliques pétillent comme du mousseux."
Paris Match
"La difficulté était d'éviter le théâtre filmé et si les premières minutes réclament une (brève) période d'adaptation, le film enveloppe ensuite le spectateur dans son atmosphère."
Le Parisien
"Le grand public a découvert ces Brèves de Comptoir dans la série humoristique culte Palace déjà réalisé par Jean-Michel Ribes. C'est le regretté Jean Carmet qui les débitait avec talent dans de petites pastilles humoristiques entre les différents sketchs de la série. Le film est lui un dérivé des pièces de théâtres sorties en 1994 et 1999."
Xav-b.
"La première partie est plutôt fastidieuse, les brèves se succèdent, linéaires (...). Puis, petit à petit l'ivresse nous gagne, les tableaux se font plus poétiques et les railleries plus cyniques. Enfin, Yolande Moreau et Valérie Mairesse en viennent à parler cul avec leur gouaille inébranlable et nous voilà définitivement conquis. La dernière demie heure est alors jubilatoire et on enchaîne les tournées le sourire aux lèvres."
Abus de Cine
"Le problème de ce film, c'est que l'on s'ennuie terriblement, car la plupart des bonnes lignes de dialogues sont... dans la bande annonce ; (...) le film donne l'impression qu'il balance du dialogue pas toujours inspiré au kilomètre."
Breaking News
"Brèves de Comptoir est un naufrage prévisible et pathétique. (...) Chevallier, Laspalès, toute la brochette des Deschiens et consorts, ce sont les “grands du rire”, ces clowns terribles du 20ème siècle à la diction pachydermique, déformés par les années passées à refaire les mêmes grimaces et les mêmes vannes potaches pour un public qui leur a certainement vieilli sous le nez."
Les Inrocks
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Synopsis usuel:
Une journée de la vie du Café L’Hirondelle, sur une petite place de banlieue, en face d’un cimetière. De l’ouverture à 6h30 du matin jusqu’à la fermeture à 22h30, les clients entrent, boivent, parlent, sortent, rerentrent, re-boivent et reparlent de plus belle. Ils composent un drôle d’opéra parlé, une musique tendre et cocasse, un cantique de pensées frappées au coin du plaisir d’être ensemble, un verre de vin blanc à la main. Le génie populaire danse.
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