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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray La Vie passionnée de Vincent Van Gogh):
"Tourné sur les lieux mêmes du passage de Van Gogh, le film de Minnelli est un modèle de reconstitution biographique. (...) et Kirk Douglas, devenu quasiment le sosie de Vincent, est remarquable." Telerama "L'histoire est très fidèle à la vie de Vincent Van Gogh : on le voit d'abord renoncer à sa carrière éclésiastique (...), puis face à ses échecs amoureux (...) puis notamment sa relation très passionnée avec le peintre Gauguin (interprété par un excellent Anthony Quinn) ; et puis il y a l'épisode de l'oreille coupée mais aussi tout au long du film sa correspondance avec son frère Théo, avec qui il entretenait un rapport étroit." Dvd Pas Cher "Le scénario plonge vraiment dans la vie de l'homme et dans son art, sans édulcorer son chaos, en respectant ses propos (...) Minnelli signe ainsi un biopic "honnête", bien peu hollywoodien sur le fond, finalement, car hanté par l'échec, la solitude, la dépression, la folie, la mort... Et qui plus est, très nourri d'histoire de l'art." Quelques Films "La Vie Passionnée de Vincent Van Gogh est tout à la fois le portrait bouleversant de l'un des plus grands artistes que le 19ème siècle ait jamais connu, et une réflexion métaphysique sur la création artistique et la valeur symbolique de la peinture. (...) le réalisateur s'interroge en parallèle sur le sens caché de la peinture, en posant des questions fondamentales qui ne peuvent laisser le spectateur indifférent : pourquoi Van Gogh éprouvait-il ce besoin vital de peindre ? ... Que cherchait-il à montrer à travers la peinture ? ... Que voulait-il exprimer à travers la peinture ? ... Quel sens avait véritablement pour lui la peinture ? ... Autant de questions passionnantes qui sont soulevées (...)." Le Terrier de la Lapine Cinéphile "Dans ce film biographique flamboyant, Minnelli pousse le souci de reconstitution en respectant scrupuleusement les silhouettes entourant Vincent. Anthony Quinn campe un Paul Gauguin inoubliable et les silhouettes de Pissaro, Emile Bernard, Signac, le père Tanguy, le facteur Roulin, le surveillant Trabuc ou le docteur Gachet sont très proches des peintures qu'en a fait Van Gogh." Cine Club de Caen "Vincente Minnelli, l'un des plus grands coloristes du cinéma, met en scène la vie du plus grand coloriste de l'histoire de la peinture, Vincent Van Gogh, (...) et signe son film préféré." Café des Images - Les Inrocks "Vincente Minnelli, homme d'un mauvais goût exquis (ses costumes jaune citron tardifs éblouirent Deauville il y a une quinzaine d'années), était par ailleurs un grand coloriste, toutes ses comédies musicales le prouvent. (...) Tout ça pour dire que le Van Gogh de Minnelli est un beau film. Comme disait Jean Renoir, ça se fait rare." Liberation - Louis Skorecki "Le film reste trop souvent engoncé dans les conventions de son époque, dont il est néanmoins un produit de qualité. (...) le héros du film peut se permettre de paraître au pire comme un pauvre incompris, mais le côté insoutenable de sa tragédie existentielle doit rester hors champ, tout comme ses deux actes de mutilation. Ce frein qui empêche d'aller au delà d'un certain point admissible se retrouve en quelque sorte dans le traitement stylistique. Soumis aux exigences du CinémaScope, un procédé encore récent à l'époque, Minnelli privilégie en effet les plans d'ensemble qui ressemblent davantage à la peinture d'avant Van Gogh qu'à la libération des formes que celui-ci avait opérée. De même, l'intégration de quelques tableaux du maître se fait de façon répétitive, ne donnant pratiquement jamais un sentiment d'éblouissement ou de surprise." Mulderville "Une remarque sans rapport avec le film : le journal Vanity Fair rapporte les propos de deux journalistes qui sont convaincus que Van Gogh ne s'est pas suicidé, voir le lien ci dessous." Guide Rapide "Vincent Van Gogh a-t-il été assassiné ? Quels que soient ses tourments, qui pourrait tenter de se tuer d'une balle dans le ventre ? Pourquoi se traîner jusqu'à sa chambre, sur plusieurs kilomètres, tordu par la douleur du coup de feu, au lieu de s'achever d'une seconde balle ? " Vanity Fair |
Synopsis usuel:
La vie mouvementée du célèbre peintre d'après le roman biographique d'Irving Stone. Fils de pasteur, Vincent s'est engagé dans une congrégation religieuse pour se mettre au service des malheureux. Envoyé dans le Borinage, il découvre la misère des mineurs et se joint à eux pour les aider et les comprendre. |
Sortie ciné : 15 janvier 1957 Box office France: 641 612 entrées cinéma |
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