Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Ni vu..., ni connu...):
"Ironique et insolente, cette farce clochemerlesque véhicule l'anarchisme bon enfant d'Yves Robert et, à travers lui, l'humour décapant d'Alphonse Allais. (...) Yves Robert a bien réussi son coup : les personnages se poursuivent avec constance et acharnement, tout en se jouant des tours pendables et spectaculaires."
Telerama
"On pourrait voir ce film d'Yves Robert comme une mauvaise farce, accumulant de nombreux gags débiles.
Mais force est de constater que l'on passe plutôt un bon moment. (...) Certes, il faudra se montrer peu exigeant pour apprécier cette comédie farfelue. Mais De Funès délivre largement la marchandise en terme de mimiques débiles et amusantes. Après, on a le droit de trouver cette comédie sans intérêt..."
Naveton Cinéma
"Ni vu..., ni connu... marque un tournant dans la carrière de Louis de Funès. Pour la première fois, l'acteur se voit confier un premier rôle dans une comédie.
Avant cela, De Funès était sutout cantonné dans les seconds rôles. Les fans de De Funès devraient logiquement apprécier cette comédie naïve puisqu'elle permet à l'acteur de montrer l'étendue de son talent.
Dans Ni vu..., ni connu..., on peut déjà apprécier les grimaces et les mimiques de l'acteur."
Naveton Cinéma
"Paradoxalement, les bons résultats du film au cinéma et la performance saluée par la critique n'accélèrent pas la carrière de Louis de Funès qui, au cours des trois années suivantes, ne se voit pas attribuer un premier rôle dans un bon film. (...) La consécration au théâtre ne vient qu'en 1961, avec "Oscar" à la Porte-Saint-Martin, avant que Louis de Funès ne s'impose véritablement au cinéma à partir de 1963-1964."
Nimotozor99
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Synopsis usuel:
Blaireau, un braconnier très adroit, ravitaille tout le pays en gibier. Un soir, son ennemi de toujours, le garde-champêtre Parju, se fait rosser. Ce dernier, persuadé, à tort, d’être la victime de Blaireau, le fait arrêter. Néanmoins, grâce à un directeur de prison compréhensif et aux attentions de la belle Arabella, son séjour en cellule ne sera pas trop rude. D’autant plus que l‘« erreur judiciaire » sera découverte.
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