Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Un linceul n'a pas de poches):
"Un Linceul n'a pas de Poches est un Mocky ambitieux, véritable pamphlet pour la liberté de la presse."
Jean-Pierre Mocky
"Un Linceul n'a pas de Poches appartient à la série des polars dans lesquels Mocky tient le rôle principal (Solo, L'Albatros) et qui répondent au même canevas scénaristique : un homme seul est confronté à la corruption et à la connerie ordinaire. Le goût du grotesque du cinéaste y croise son romantisme anar."
Les Inrocks
"Jean-Pierre Mocky est un homme de la seconde moitié du 19ème siècle, et c'est bien la raison pour laquelle il nous est sympathique. C'est un utopiste à la manière des vieux républicains fouriéristes, qui pense que la société devrait être fondée sur la morale et sur la vérité, qui croit à la mutualité universelle, et qui ne peut se consoler de la méchanceté des hommes. Au point que son optimisme anachronique se change en individualisme tragique. Rebelle à tout engagement politique, qu'il soit de droite ou de gauche, Mocky vilipende tous azimuts avec une rage destructrice"
Universciné - Valeurs Actuelles
"Tout cela est un peu foutraque, comme d'habitude, un peu étiré sur la fin, mais il y a une verve, un goût pour le romantisme noir et un sens de l'absurde bien séduisants. Jean Carmet est formidable en flic honnête. Francis Blanche est, lui, inénarrable en ex-militant de la guerre d'Espagne qui retrouve sa jeunesse en distribuant le journal provocateur qu'il imprime."
Telerama
"Les universitaires du futur, qui auront à analyser l'oeuvre de Jean-Pierre Mocky, devront affronter un gros casse-tête. Au motif de leur goût de l'excès, de leur désinvolture foutraque, de leur dédain du réalisme, les films de cet enfant terrible ont suscité pendant trente ans la condamnation des juges sérieux. Mais le temps gomme les excès, transforme la désinvolture en liberté, et fait de l'irréalisme un style."
Universciné - TéléCinéObs, Alain Riou
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Synopsis usuel:
Désavouant les compromissions inhérentes au journalisme qu’il pratique, Michel Dolannes démissionne d’un grand quotidien pour fonder « Le Cosmopolite ». Le journal devient une arme de combat pour dénoncer les scandales financiers, confondre les politicards pourris, pourfendre le mensonge. A mesure que lumière est faite sur certaines affaires, la vie de Dolannes bascule dans l’ombre et le péril…
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