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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Les Contes d'Hoffmann):
"Fidèlement adapté des Contes d'Hoffmann d'Offenbach, le film de Powell et Pressburger est probablement le plus bel hommage jamais rendu par le cinéma au ballet et à l'opéra, avec les sublimes Moïra Shearer et Ludmilla Tcherina dans les premiers rôles. (...) Les Contes d'Hoffmann est considéré par Martin Scorsese mais aussi Francis Ford Coppola comme l'un des plus beaux de l'histoire du cinéma." Paris fait son cinéma "La performance des réalisateurs tient à l'extraordinaire qualité technique et plastique de l'oeuvre : beauté des décors dessinés à plat, splendeur des costumes, perfection de la chorégraphie. (...) Echec commercial retentissant (il avait coûté 400 millions en 1951), le film eut un énorme retentissement dans le monde professionnel du cinéma et de la danse." Universciné - Roland Lacourbe, 30 ans de cinéma britannique "Ce qui nous sidère aujourd'hui dans le traitement de l'univers de la danse par Powell et Pressburger semblait plus incroyable encore à l'époque : le duo traduit sur scène une imagination sans borne. Son, image, vitesse... Tout est prétexte à expérimentation. Powell juxtapose les plans, enchaîne les fondus, joue avec la transparence. Estimant que les traditionnelles 24 images par secondes sont « monotones », il n'hésite pas, par exemple, à passer de 48 à 6 images secondes dans le même plan, ce qui permet de faire tourbillonner une feuille de journal jusqu'à ce qu'elle se transforme en un personnage..." Il était une fois le cinéma "Ce film est entièrement musical. Les cinéastes sont d'une rigoureuse fidélité à l'opéra, dont ils reprennent la construction faite d'un prologue, trois actes et un épilogue. (...) La mise en scène se soumet à la musique, cette dernière étant préenregistrée - ainsi que les voix - et obligeant les acteurs à d'inlassables prises afin d'être en parfaite synchronisation pour le playback." Dvd Classik "À l'inverse de ce qui pouvait se pratiquer à l'époque, Powell et Pressburger décident de ne pas monter leur projet sur la seule célébrité de têtes d'affiches, mais bien sur leurs compétences : le casting sera donc organisé dans cet objectif, acteurs, danseurs, chanteurs devant exceller dans leur domaine. Les Contes d'Hoffmann est une perle du Technicolor. Chaque conte est habillé d'une couleur différente, qui lui donne une identité propre et forte. (...) Les décors sont hors normes, entre fiction et réalité, une véritable fantasmagorie visuelle." Festival Lumiere "(...) ce qui dans Les Chaussons Rouges [film précédent des mêmes réalisateurs] était distillé au compte goutte (récrimination coutumière : le ballet est trop court et va trop vite) est ici délivré avec une abondance qui confine à la surcharge : les auteurs ont voulu y mettre tout Offenbach et les scintillements du Second Empire, tout E.T.A. Hoffmann et le romantisme allemand, tout Powell et Pressburger avec l'aboutissement de dix années de recherche et d'évolution cinématographique..." Universciné - Positif, Yann Tobin |
Synopsis usuel:
Dans un cabaret, assis à une table en attendant Stella, la jeune ballerine qu’il aime, Hoffmann raconte à ses amis ses malheureuses amours passées. Il aima trois femmes, Olympia, Giulietta et Antonia. Olympia était une ravissante poupée animée par l’artisan magicien Coppelius, qui détruisit son oeuvre par cupidité. A Venise, Hoffmann fit la connaissance de Giulietta, une courtisane qui voulait lui ravir son âme. Il aima enfin Antonia qui était tuberculeuse et qui mourut d’avoir trop chanté. En fait, ces trois femmes n’étaient que les trois facettes d’un même être : l’Éternel Féminin, la Femme que tout Homme recherche. |
Sortie ciné : 22 juin 1951 Box office France: 1 060 312 entrées cinéma Prix spécial du Jury à Cannes 1951 |
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