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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie dvd et blu-ray L'Ibis rouge):
"On le savait, le réalisateur Jean-Pierre Mocky n'a pas la critique indulgente. Il ne fait pas bon être petit-bourgeois étriqué dans un de ses films. (...) L'Ibis Rouge (...) est un film burlesque, débraillé, tout en foucade (...), un film impétueux, haut en couleur, mal fichu mais drôlement attachant." Universciné - Positif "L'Ibis Rouge est l'un des meilleurs films de Mocky, typique de son sens de l'humour noir avec des personnages étranges et le goût de situations absurdes. Le tour de force est qu'il arrive à nous rendre sympathiques la galerie de monstres et de guignols pathétiques qu'il nous dépeint." Jean-Pierre Mocky le site "Les trois Michel - Galabru, Serrault et Simon - forment une épatante tribu de dégénérés." Telerama "L'Ibis Rouge est un film d'humour noir très réussi d'un Mocky qui ne craint pas le mauvais goût pour construire un jeu de guignol particulièrement réjouisant, fustigeant avec bonheur l'imbécillité et la médiocrité en une pittoresque galerie de monstres." Jean-Pierre Mocky le site - Claude Bouniq-Mercier, Guide des films Jean tulard "Pourquoi Jean-Pierre Mocky n'occupe-t-il pas dans le cinéma français la place qu'il mérite ? Il a connu des succès populaires, la critique l'a maintes fois plébiscité, et pourtant son nom demeure un mot de passe pour une poignée d'admirateurs fanatiques. Pas si poignée que ça, d'ailleurs. A mon sens, c'est l'absence totale de prise en considération par la critique de son oeuvre dans son intégralité qui fait de Jean- Pierre Mocky ce cas unique dans notre cinéma : un réalisateur culte. On pourrait grossièrement scinder ses films en deux catégories : ceux où il joue et ceux où il ne joue pas. Les premiers sont toujours des Séries Noires (..) parmi les plus réussis que nous ait donné le cinéma français avec ceux de Melville." Universciné - Cahiers du Cinéma - Olivier Assayas |
Synopsis usuel:
Raymond Villiers ne se doute pas que l'homme qui lui fait face dans l'ascenseur n'est autre que l'étrangleur qui défraie la chronique. Mais Raymond ne s'attarde pas, il abandonne ce personnage et se met en quête des trois millions qu'il a perdu au jeu et qu'il doit rembourser au plus tôt. Dès lors, une succession de quiproquos et de méprises vient bouleverser l'ordre naturel des événements. |
Sortie ciné : 21 mai 1975 Box office France: 146 863 entrées cinéma |
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