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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Le Jardin des Finzi-Contini):
"La photo diaphane de Ennio Guarnieri donne une atmosphère de rêve vaporeuse, comme un ultime répit nostalgique avant l'horreur qui s'annonce (les signes s'accumulant au fil du film avec les symbole nazi, les regards méfiants et les arrestations sommaire). De Sica a constitué un casting parmi les plus beaux et photogénique de l'époque pour illustrer cette jeunesse fauchée en plein vol." Chroniques du Cinéphile Stakhanoviste "Ce film est très attachant par ses qualités esthétiques et par la manière dont la mise en scène suggère la progression de l'antisémitisme et la corrosion du fascisme. Les petits drames individuels vont aboutir à une tragédie collective que le cinéaste a fait ressentir avec une force poignante. A la fascination formelle qu'on peut éprouver devant les images, au mystère des personnages occupés par leurs amours (excellente interprétation) s'ajoute la présence obsédante de l'Histoire, dans une Italie où, en 1943, des Juifs partirent pour les camps de la mort nazis." Telerama - Jacques Siclier "Le jardin est utilisé comme symbole de la monté du fascisme." Ciné Club de Caen "Entre étude sociologique et bouleversements politiques, Le Jardin des Finzi-Contini est une superbe tragédie humaine." Avoir Alire "Certains pourraient rechigner à revoir un film qui a près de 30 ans. Ce serait dommage car c'est une oeuvre qui, à la différence de beaucoup, n'a pas pris une ride. Ses héros sont toujours et resteront à jamais jeunes et beaux et les terribles évènements qu'ils rappellent seront, toujours, hélas, d'actualité (il n'est que de voir ce qui s'est passé, il y a moins de 10 ans, en ex-Yougoslavie)." Au delà des Rêves "Le Jardin des Finzi-Contini est une fresque parfaitement construite qui montre subtilement la gangrénisation d'une classe, et celui d'un pays. La seule ombre au tableau apparaît en fin de film : (...) le réalisateur passe trop rapidement peut-être sur le résultat de cette menace rampante. L'histoire ne semble pas avoir de prise réelle sur les personnages, ils restent dans le flou, dans le regret. De Sica ne les confronte pas vraiment au monde qui les attend. Peut-être a-t-il voulu filer la métaphore jusqu'au bout, et garder cette sensation de légèreté feinte pour conclure son film. Mais elle gêne quelque peu cette légèreté bancale. Elle ne déplaît pas, elle donne une impression d'inachevé à une époque où le cinéma s'est bien plus penché sur l'époque que dans les années 1970. C'est peut-être la seule chose qui a vieilli dans ce film à la force étouffée." Critikat "Au début des années 1970, l'Italie est agitée par les soubresauts politique des Années de plomb et la jeunesse semble avoir un vrai attrait pour le fascisme, symbole d'une Italie conquérante. En adaptant le roman de Giorgio Bassani, De Sica se charge donc de rappeler à ces inconscients le vrai drame que fut la montée du fascisme dans le pays et les malheurs qu'il causa." Chroniques du Cinéphile Stakhanoviste |
Synopsis usuel:
Italie, 1938. Alors que l’idéologie fasciste imprègne insidieusement les moeurs italienne, les mesures anti-juives se multiplient et les clubs sportifs sont interdits aux membres non aryens. Les Finzi Contini, pilier de l’aristocratie de Ferrare, accueillent des jeunes gens de la petite bourgeoisie locale sur les courts de tennis de l’immense parc qui entoure le palazzo familial. C’est ainsi que Giorgio à l’occasion de revoir son amie d’enfance, Micol, so premier et éternel amour… |
Sortie ciné : 6 décembre 1971 Box office France: 532 309 entrées cinéma Academy Awards 1972 : Oscar du Meilleur film. |
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