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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray La Promesse d'une vie):
"Russell Crowe interprète avec beaucoup d'émotion un personnage touchant déchiré entre le chagrin et le sens du devoir." La Critiquerie "Projet qui aura monopolisé son réalisateur pendant trois ans, La Promesse d'une Vie est un plus qu'honnête film d'aventure historique, distrayant, touchant et drôle, avec son lot d'action et un sujet plus sérieux et profond qu'il ne peut y paraître à première vue. A cheval entre deux cultures, le réalisateur, à l'issue d'un tournage intense, réussit le lourd défi (périlleux) du passage d'un acteur de premier plan derrière la caméra." Les chroniques de Cliffhanger & Co "Bien que la moitié des scènes aient été tourné en Australie, l'immersion est totale. Certains plans et prises de vue nous font découvrir ce « nouveau monde » à travers les yeux de Joshua, et sa relation avec une charmante veuve propriétaire d'un hôtel à Istanbul, nous plonge un peu plus dans la société turque de l'époque, bousculant nos préjugés." La Critiquerie "Sur le fond, le récit est particulièrement documenté, ponctué de références pour respecter au plus juste la chronologie. (...) Russel Crowe s'affaire non sous l'angle du patriote effarouché, mais avec l'oeil et le coeur de l'humaniste, qui rend hommage à son pays et à l'ennemi tout aussi valeureux. On ressent d'emblée un film très personnel, très intimiste, qui s'articule autour de deux thèmes conjoints : la guerre et le drame. La guerre, c'est les idéaux qui s'affrontent et les tranchées qui se creusent. Le drame, le traumatisme d'une violence inouïe, difficilement appréciable si des Maurice Genevoix (Ceux de 14, publié chez Flammarion) n'avaient pas tenu de journaux. C'est l'opposition invraisemblable entre l'insouciance des jeunes soldats d'alors et ces inconnus morts par bataillons entiers. C'est le prisme familial qui éclate et avec lui la question absolue qu'est la vie." Ciné Séries Mag "Le film a beau être académique, très classique et parfois même ringard, il y a un truc qui fonctionne. (...) La Promesse d'une Vie a un certain charme procuré par des scènes touchantes qui parviennent à nous attacher aux personnages. Je pense que c'est le plus grand atout de ce film, que d'avoir réussi, malgré une forme peu attrayante, à nous attacher aux personnages et à l'histoire afin de nous faire fondre en larmes comme il se doit à l'issue du film." Breaking News "Russell Crowe ne manque ni de sensibilité, ni de sincérité. C'est très important car cela permet presque d'effacer les gros défauts du film. Par exemple, dès le texte du générique et la première scène, on sait que Russell Crowe fera parler à fond la fibre humaniste." Le Blog du Cinéma "Pour sa première réalisation, Russell Crowe s'est donné le beau rôle... Et il ne boude pas son plaisir : aventures, grandeur d'âme, sentiments, voilà du cinéma comme on n'ose plus en faire. Rétro, souvent clinquant et faux, côté décors... Mais un charme opère. Conteur pris par son histoire, acteur généreux, il nous embarquerait presque." Telerama "Pour habiller ce drame de guerre, Russell Crowe a choisi de rendre hommage à ces grands films d'aventure des années 90, avec son lot de secrets et d'amours impossibles, rajoutant même une tempête de sable ou des chevauchées équestres pour le côté exotique. Malheureusement, le classicisme de l'oeuvre condamne cette épopée à une succession de séquences terriblement banales, lorsqu'elles ne sonnent pas simplement faux." Abus de Ciné "À l'école, on a tous plus ou moins zappé l'épisode de la bataille des Dardanelles en 1915, au plus fort de la Grande Guerre. Les Australiens et les Néo-Zélandais, eux, n'ont pas oublié ce terrible conflit qui opposa les forces britanniques et leurs alliés à l'armée ottomane, sur une terre qui allait devenir la Turquie : ils y laissèrent près de 12 000 morts. Ce traumatisme a inspiré le premier film en tant que réalisateur de la star néo-zélandaise Russell Crowe." Le Parisien "La Campagne de Gallipoli revêt encore aujourd'hui une importance toute particulière pour les Australiens et les Néo-Zélandais. Le 25 avril, date du début de l'affrontement, demeure l'une des fêtes nationales commémoratives les plus importantes." Avoir Alire "(...) ce bain de sang légendaire dura moins d'un an et fit plus de 100 000 morts (turcs, français, australiens et néo-zélandais réunis dans une invraisemblable orgie de sang). Un fermier australien, Connor (un excellent Russel Crowe, tout en désespoir contenu) découvre une autre culture et un peuple qui a aussi violemment souffert de cette boucherie sans oublier une ravissante veuve de guerre du cru (la française Olga Kurylenko). Russel Crowe, avec ce sujet ultra touchy dans son pays fait dans le mélo sirupeux et la modestie. Et l'académisme. C'est la force, et aussi la faiblesse de ce film (...). Russel fait preuve d'une grande pudeur et d'un profond respect pour le peuple turque mais sa mise en scène manque cruellement d'inspiration." Daily Mars "Sous la caméra de Russell Crowe les plans sont étriqués et peu variés. Le spectateur n'a pas une visibilité totale sur les évènements qui ont eu lieu et le réalisateur n'impose pas assez d'artifices visuels et scénaristiques pour comprendre l'état d'alerte au milieu duquel le père évolue. Quelques ruines, un terrain de guerre bien nettoyé après la bataille et quelques manifestants ne suffisent pas à libérer l'empathie et à goûter à la dramaturgie." Mulderville "La Promesse d'une Vie est un mélo dégoulinant (...)." Les Inrocks |
Synopsis usuel:
La Promesse d’une vie est une épopée d’aventures se déroulant en 1919, 4 ans après la terrible bataille des Dardanelles, dans la péninsule de Gallipoli. Un paysan australien, Joshua Connor se rend en Turquie à la recherche de ses trois fils portés disparus. Malgré les barrages de la bureaucratie militaire, sa détermination ne fléchit pas. Il est d’abord aidé par la belle Ayshe, la propriétaire de l’hôtel dans lequel il séjourne à Constantinople, puis par un officier turc ayant combattu contre ses fils. Pour découvrir la vérité et enfin trouver la paix intérieure, Joshua, accompagné du Commandant Hasan, est contraint de sillonner un pays ravagé par la guerre où la frontière entre le Bien et le Mal n’est plus si nette et l’ennemi si clairement identifiable. |
Sortie ciné : 15 avril 2015 Box office France: 90 247 entrées cinéma |
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