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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Journal d'une femme de chambre):
"Adaptation d'un roman classique déjà porté à maintes reprises sur le grand écran, Journal d'une Femme de Chambre de Benoît Jacquot est une brillante étude de caractère. Léa Seydoux est parfaite en servante qui provoque les passions malgré elle." Paris Match "Léa Seydoux (...) est une beauté provocante (...). Objet de désir, mais pas seulement. Personnage complexe, à la fois cynique et attachante, Célestine a beau être victime de sa condition, elle a le panache insolent de certaines soubrettes de Molière. Et si l'on sent chez elle une énergie dangereuse, elle est aussi fragile." Telerama "Si la dimension fantasmatique de la relation qui se met lentement en place entre Célestine et le domestique Joseph est bien présente, le cinéaste dessine avant tout les contours d'une société française du début du 20ème siècle minée par le nationalisme et l'antisémitisme." Le Monde Culture "Dans une adaptation fidèle à Mirbeau, Benoît Jacquot pourfend la domination bourgeoise de toutes époques. Un film à la sécheresse stylée, éclairé par Léa Seydoux." Les Inrocks "Le film va surtout creuser la psychologie de Célestine et la placer au coeur du système qu'est celui des maîtres et des serviteurs en l'élargissant vers les notions de soumission et domination. Car c'est bien là ce qui se noue dans Journal d'une Femme de Chambre : chaque personnage s'essaye, à son niveau, à exercer une pression et une tension sur l'autre." L'Obs - Le Plus "C'est une adaptation réaliste, assez scrupuleuse, et qui met étonnamment en relief l'actualité du texte, notamment par l'évocation de la pression sur les salariés (voire de l'esclavage salarial)." Avoir Alire "Benoît Jacquot, le réalisateur : « Il y a quand même en France quelque chose depuis maintenant quelques années, et peut-être quelques dizaines d'années, de très resserré, étouffé, soit-disant paisible et repu, et qui pourtant gronde constamment d'après moi », dit-il. La violence dans les rapports sociaux, « même masquée par des couches de temps et d'événements, est tout aussi virulente » aujourd'hui, juge-t-il. « C'est ce qui donne sa résonance moderne au film »." Le Parisien "Journal d'une Femme de Chambre, avec sa totale amoralité, est un film dangereux, dangereux pour tout le monde, en ces temps - les nôtres - où la haine populaire des autres et la massive et volontaire servitude (désormais au marché), en contrepoint à l'arrogance auto-satisfaite et à l'hédonisme médiocre des nantis et à la misère au travail, ne manquent pas de points communs avec celle à laquelle se situe le récit." Slate "Dans cette humanité sèche et flétrie, dure et douloureuse, le calcul tient lieu de sentiment. L'âpreté au gain, de valeur cardinale. Célestine en fera les frais, qui passera d'une exploitation à une autre. Intemporelle malédiction." La Croix "L'adaptation est réussie mais parfois un peu léthargique." L'Obs - Louise Auvitu "L'histoire est bâclée. Adapter un livre n'est pas chose aisée : il faut trouver le juste équilibre entre l'histoire de l'auteur et le style du réalisateur. Malheureusement, ce Journal d'une Femme de Chambre respecte trop le roman, sans rien apporter d'intéressant à l'image. (...) Au final, le récit est un peu monocorde : même si certains flashbacks nous font comprendre un peu mieux le personnage de Léa Seydoux, le reste de l'histoire n'a pas de grand intérêt. Présenté comme une satire sociale, le Journal d'une Femme de Chambre ne critique pas, ne prend pas position et ne fait que s'appuyer sur quelques petits chuchotements de Célestine pour montrer sa rébellion. Trop peu." La Critiquerie |
Synopsis usuel:
Début du 20ème siècle, en province. Très courtisée pour sa beauté, Célestine est une jeune femme de chambre nouvellement arrivée de Paris au service de la famille Lanlaire. Repoussant les avances de Monsieur, Célestine doit également faire face à la très stricte Madame Lanlaire qui régit la maison d’une main de fer. Elle y fait la rencontre de Joseph, l’énigmatique jardinier de la propriété, pour lequel elle éprouve une véritable fascination. |
Sortie ciné : 1er avril 2015 Box office France: 333 118 entrées cinéma |
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